Alors que la fermeture des écoles et lieux d'accueil de jeunes enfants a été prolongée jusqu'au 11 mai, la situation devient critique pour les paysan.ne.s qui s'emploient à nourrir les français. Au surcroit de travail, lié au bouleversement des systèmes d'approvisionnement et de distribution, s'ajoutent l'intensification de l'activité agricole au printemps et l'impossibilité de faire appel au service de remplacement dans le cadre du dispositif d'arrêt de travail pour garde d'enfant.
L'Etat doit apporter une solution de garde pour les paysan.ne.s dans ce contexte de crise sanitaire.