La formation "Fabriquer une huile bio et artisanale de qualité" organisée par BIO BOURGOGNE s'est déroulée jeudi 7 février à Vézelay. Vous avez été un grand nombre à participer et manifester votre intérêt sur ce sujet passionnant. L'objectif de la journée était de découvrir ou d'optimiser ses techniques de fabrication d'huile à la ferme pour obtenir un produit de qualité. La matinée a été consacrée à la conduite des cultures d'oléagineux en AB et à l'optimisation de leur itinéraire technique en vu d'une transformation en huile, pour améliorer la qualité de cette dernière. L'après-midi, une huilerie artisanale bio a été visitée à Saint-Père. Des points techniques tels que le choix des presses, la conservation, le stockage, le conditionnement ou encore la valorisation des tourteaux ont été abordés.
La Commission européenne discute en ce moment des règles d'application du futur règlement bio. Or, elles pourraient pénaliser les élevages de volailles les plus vertueux de la filière.
« On durcit les règles pour les petits élevages alors qu'on n'a pas osé le faire sur les gros élevages », estime David Léger, éleveur et secrétaire national volailles de la FNAB.
De plus en plus de marques et enseignes de la grande distribution se positionnent pour vendre du lait biologique dit « équitable », communiquant sur un « prix juste » payé aux producteurs-rices. Pourtant, aucun dialogue n'a eu lieu en amont entre ces marques et les éleveurs-ses pour savoir à quoi correspondait ce « prix juste » annoncé sur les emballages des produits. Lait Bio de France, la Fédération Nationale d'Agriculture Biologique (FNAB) et Commerce Equitable France dénoncent cette situation et appellent les enseignes de la distribution et les laiteries à dialoguer avec les producteurs-rices bio.
La région Bourgogne Franche-Comté propose une aide à la trésorerie exceptionnelle versée aux éleveurs bovins, ovins, caprins et équins agricoles victimes de la sécheresse en 2018.
L'aide est calculée sur la base d'un montant forfaitaire à l'UGB (unité gros bétail), dont le montant varie en fonction du département dans lequel se trouve le siège de votre exploitation.
Le dossier de demande doit être déposé avant le 31 mars 2019.
Plus d'informations et dossier de demande disponibles sur le site internet de la région.
Retenez la date dans vos agendas !
Cette semaine, la Commission débat avec les Etats membres des règles de production qui vont s'appliquer aux éleveurs et éleveuses biologiques d'Europe, en application du tout récent règlement biologique européen qui s'appliquera à partir de 2021. Alors que le risque d'industrialisation des élevages biologiques atteint désormais la France, il est urgent de réagir !
FAFSEA change ses conditions de prise en charge à compter du 1er janvier 2019!!
L'Accompagnement du FAFSEA s'effectue jusqu'à 25% du coût du projet HT (coût pédagogique 200€/jour + rémunération), sans dépasser le montant du coût pédagogique.
Ces nouvelles règles de prise en charge ne sont valables que pour le 1er trimestre 2019
Pour toute questions éventuelles liées à la participation d'un salarié, n'hésitez pas à contacter Angéline GAULARD, Responsable qualité des formations (formation@biobourgogne.org)
La commune de Gevrey-Chambertin souhaite organiser un marché bio, sur une journée cet été.
Mathieu Archambault, spécialiste de l'agriculture de conservation des sols, est intervenu du 15 au 17 janvier à l'occasion de formations organisées par BIO BOURGOGNE, dans l'Yonne, la Côte d'Or et la Nièvre. Ces journées de formations ont eu un grand succès auprès des agriculteurs. L'objectif de la formation était de comprendre le fonctionnement et la gestion d'un sol en agriculture de conservation appliquée aux systèmes céréaliers bio, dans le but de le préserver, dans une recherche de durabilité technique et économique. Couverts végétaux en interculture, travail réduit du sol ou encore associations culturales ont ainsi été abordés.
Pour Mathieu Archambault, les deux principaux problèmes dans les systèmes bio céréaliers en agriculture de conservation sont souvent une structure du sol non optimale et un manque de fertilité des sols. C'est via une combinaison de leviers agronomiques tels que la rotation, l'implantation de prairies temporaires et de couverts en interculture, ou encore d'apports d'effluents d'élevage, que l'on va pouvoir conserver la fertilité des sols de son système et ainsi pérenniser la viabilité de sa ferme.
En plein renouveau architectural et essor démographique, le village d'Ahuy projette l'organisation d'un marché. La réflexion est lancée, y compris avec les commerçants qui seront intéressés par la démarche. Si l'aventure vous tente prenez contact directement avec la mairie pour donner des informations sur votre production, vos disponibilités, bref votre avis.
Mairie : 4, rue des Ecoles – 21121 AHUY
Tél : 03 80 23 80 99 – Courriel : mairie-ahuy@wanadoo.fr
Site internet : www.ahuy.fr
L'équipe élevage de BIO BOURGOGNE a le plaisir de vous présenter le programme des actions du 1er trimestre 2019. Découvrez nos formations, journées techniques, tours de plaine des prochains mois : programme des actions en polyculture et élevage.
Suite à la sécheresse de 2018, vous êtes nombreux à être confrontés à un manque de fourrages bio cet hiver.
Des achats de fourrages non bio sont possibles, sous réserve de l'acceptation d'une dérogation. Votre demande de dérogation est à faire auprès de votre organisme certificateur, qui la transmettra ensuite à l'INAO.
Le réseau bio de Bourgogne,
BIO BOURGOGNE et les GAB départementaux,
les présidents, l'ensemble des élus
et des salariés vous présentent leurs meilleurs voeux.
- Toute personne exploitant plus de 3 ha en zone vulnérable est tenue de réaliser, chaque année, au moins une analyse de sol sur un îlot cultural pour une des trois principales cultures exploitées en zone vulnérable. L'analyse porte sur le reliquat sortie hiver (cultures annuelles) ou le taux de matière organique (cultures pérennes).
- Si plus de 100 ha sont exploités en céréales à paille en zone vulnérable, une deuxième analyse devra être réalisée.
Contenu réservé aux adhérents, retrouvez l'article complet dans les Nouvelles de la Bio.
Pour rappel, les fertilisants utilisables en agriculture biologique (UAB) sont inscrits dans l'annexe 1 du RCE 889/2008. Les matières organiques issues d'élevages conventionnels sont autorisées, sauf si l'élevage est considéré comme "industriel". Or, depuis plus de 10 ans, ce critère n'est pas appliqué, faute de définition claire du terme "industriel".
Un groupe de travail spécifique, auquel la FNAB a participé, s'est réuni à l'INAO pour donner une définition opérationnelle du terme "industriel". Cela permettra l'application progressive de nouvelles règles concernant l'usage de certains effluents d'élevage.
Depuis plusieurs dizaines d'années, les oiseaux communs disparaissent de nos campagnes. La disparition des oiseaux n'est pas une fatalité. Il est encore temps d'agir. Grâce à vous la nature peut revenir.
En participant à cette initiative nationale "Des Terres et des Ailes" avec la LPO, vous avez les cartes en main : responsabilité, autoévaluation, gratuité...
Ce programme propose :
Votre participation est donc libre et autonome, peut rester anonyme et ne porte ni jugement ni évaluation. Il s'agit d'un projet collectif où chaque producteur est libre de de mettre en place les actions qu'il souhaite.
Pour y participer :
BIO BOURGOGNE vous propose un petit rappel des principales mesures dévoilées à l'heure actuelle :
Nouvelle animatrice en Saône-et-Loire !
Suite au départ de Marine PHILIPPE du GABSeL, Morgane LE BRIS est arrivée en décembre pour la remplacer. Elle sera donc l'animatrice du GABSeL et conseillère en élevage bio.
Si vous avez besoin de conseil, si vous vous posez des questions sur l'élevage biologique en Saône-et-Loire, n'hésitez pas à prendre contact avec elle.
Vous pouvez la joindre au 03.85.20.20.64, au 06.33.35.37.48, ou via les adresses mail gabsel(at)biobourgogne(.)org ou morgane.lebris(at)biobourgogne(.)org
Suite à une enquête réalisée dans la Vallée de la Seine, il a été révélé que 60% des producteurs n'intégraient pas les coûts d'utilisation du véhicule et le temps passé à la livraison dans le prix de vente des produits.
Plusieurs partenaires dont l'Association Bio Normandie (réseau FNAB) ont donc mis en place un nouvel outil vous permettant de calculer de façon simple et gratuite vos coûts de livraison lors de la vente en circuit court.
Rendez vous sur logicout.fr
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Participer à ce Concours c'est oeuvrer à la reconnaissance de vos vins et de la bio. Vitrine de la viticulture biologique, ce concours indépendant est reconnu par les instances professionnelles du vin et de la bio. C'est la plus grande dégustation de vins biologiques à Paris.
Il contribue à donner une image positive de la démarche bio au travers de son sérieux et de son expertise. Sur le plan individuel, le Concours Amphore permet la promotion des producteurs distingués (macarons, diffusion du palmarès, diplômes...). 500 macarons offerts aux médailles d'or, envoi d'un diplôme, reduction pour participer au salon Vinibio pour les domaines médaillés…
La FNAB se réjouit de la réautorisation et accompagnera la réduction des usages demandée par l'Europe mais insiste sur la nécessité d'un soutien public fort pour relever le défi de réduction des doses et sur le besoin de clarifier la situation pour l'avenir.
Une décision qui va dans le bon sens
Ces bourses permettent de rassembler les annonces (fourrages, paille, fumier, grains, légumes, matériel...) et de transmettre l'information à tous les agriculteurs de Bourgogne mais aussi des autres régions françaises. Cela vous offre la possibilité d'écouler vos excédents mais aussi d'exprimer vos besoins ou d'organiser un achat groupé.
Pour retrouver l'ensemble des bourses aux annonces, RDV sur la page dédiée de notre site Internet.
L'Agence BIO et Crédit Agricole SA ont le plaisir de vous annoncer le lancement d'une nouvelle édition des Trophées de l'Excellence Bio.
Ouvert à tous les acteurs professionnels et à toutes les entreprises des filières biologiques, qu'ils soient producteurs, transformateurs ou distributeurs, ce concours permet de soutenir des initiatives exemplaires, innovantes et reproductibles des filières biologiques.
Chaque année la FNAB réalise une enquête sur la récolte du miel bio et les prix pratiqués. Vous êtes apiculteur bio ? N'hésitez pas à y participer : accès à l'enquête en ligne.
Cette année, l'enquête intègre des éléments pour favoriser les échanges directs entre les apiculteurs biologiques sur les intrants de vos exploitations (cire, reines, essaims, pollens).
En 2035, les vignerons auront l'obligation de se fournir en plants de vigne certifiés bio. Pour anticiper cette nouvelle réglementation, la Fédération Nationale de l'Agriculture Biologique (FNAB) organise un colloque pour les vignerons, pépiniéristes, conseillers, techniciens, et représentants des administrations compétentes : Ministère de l'agriculture, FranceAgriMer, INAO.
"Quels plants pour la viticulture biologique ? "
Colloque professionnel national
le 9 janvier 2019 de 9h30 à 17h à Paris
Au programme de cette journée :
Tables rondes avec retours d'expériences, témoignages, bilans des connaissances autour des questions suivantes :
Programme détaillé & inscription (gratuite mais obligatoire) en ligne via le site Produire Bio.
Le deuxième prix de la 1ère Edition des Trophées BIO des Territoires a été attribué à la ville de Quetigny (21) pour le projet « une production de fruits, bio, locale et équitable ! ». Le projet vise à créer un verger bio sur 4 hectares de terres communales. L'entreprise adaptée PROMUT a été sélectionnée après un appel à projet pour s'implanter dans la commune afin de développer cette activité (production, transformation, vente directe) qui permettra également la création de 6 emplois pour des personnes en situation de handicap.
Une initiative citoyenne européenne (ICE) est en cours pour interdire l'utilisation des cages en élevage dans toute l'Union Européenne. Plus qu'une pétition, il s'agit d'un véritable référendum européen pour une proposition de loi. A signer et à diffuser !
Le gouvernement annonce depuis un an, un retour à la normale sur le paiement des aides biologiques avant fin 2018, soit le versement effectif de l'ensemble des aides bio 2015, 2016, 2017. A deux mois de l'échéance, la FNAB fait le bilan et s'alarme de nouveaux retards.
Vous retrouverez le communiqué de presse de la FNAB ici.
Samedi 10 novembre dernier, le GABSeL et le lycée horticole de Tournus organisaient une conférence sur les semences paysannes.
Ce fut l'occasion d'évoquer la réglementation et les évolutions prochaines, en particulier avec la révision du règlement bio européen, expliquées par Fiona Marty, chargée de réglementation à la FNAB et Philippe Roux délégué régional du GNIS. Yanick Loubet, producteur de semences maraichères en Côte d'Or, nous a fait part de son expérience en production de semences paysannes, et Bernard Ronot, paysan retraité et membre fondateur de Graines de Noé, nous a expliqué sa prise de conscience sur les limites de l'agriculture conventionnelle développée après la seconde guerre mondiale.
Une cinquantaine de personnes sont venues assister et échanger lors de cette après-midi riche en témoignages.
Merci à tous les participants, aux intervenants et au lycée horticole de Tournus qui nous a accueilli pour les 30 ans de son exploitation.
Il s'agit d'un numéro spécial cire, consultable sur ici. N'hésitez pas à vous abonner pour recevoir directement les prochains numéros dans votre boite mail.
A cette occasion, le GAB21 a diffusé un communiqué de presse pour soutenir la mobilisation et exprimer ses attentes Pour une autre PAC.
Le 12 septembre dernier, une rencontre autour du semis et de la préparation du sol en agriculture biologique a eu lieu à Neuilly, organisée par l'association BIO BOURGOGNE. Un groupe d'agriculteurs bourguignons s'est réuni autour de Nicolas Thibaud, agro-ingénieur expert en agroéquipement.
Le 6ème programme régional d'actions "Nitrates" entre en vigueur cet automne.
Il s'agit principalement d'une harmonisation des programmes Bourgogne et Franche-Comté. Cependant, un certain nombre de modifications sont susceptibles de vous impacter.
Protégez vos cultures à moindre coût grâce aux substances de base
L'Institut Technique de l'Agriculture Biologique (ITAB) met gratuitement à votre disposition des fiches qui vous permettront d'utiliser au mieux les substances de base, via le tout nouveau site Substances. Mais les substances de base, qu'est-ce que c'est ?
Ce sont des substances pouvant être utilisées à des fins phytopharmaceutiques en agriculture alors que cela n'est pas leur vocation première. Par exemple, le sel, le sucre, le vinaigre, la bière… Les substances de base permettent donc de se prémunir contre certaines maladies ou certains nuisibles à moindre coût.
Jeudi 27 septembre, la formation portant sur l'agroforesterie a regroupé 11 stagiaires, venus des départements de la Nièvre et de l'Yonne. Après avoir abordé les bases théoriques, les stagiaires ont pu observer un projet mis en place depuis 2015 dans le secteur. (Photo : parcelle agroforestière Noyers-luzerne à Dompierre sur Nièvre (58)).
La formation s'est poursuivie pour ceux qui le souhaitaient par l'observation d'une haie implantée récemment chez un des stagiaires.
En septembre, une vingtaine d'éleveurs ont participé à la visite de l'atelier de découpe de Séléviandes à Saint Rémy, co-organisée par BIO BOURGOGNE et les Eleveurs Bio de Bourgogne.
Ce fut l'occasion d'échanger avec le responsable de l'atelier, Didier Berthiot, et les éleveurs présents sur différents sujets :
- la qualité de l'engraissement, le rendement carcasse et le choix des races
- le fonctionnement de l'atelier et les prix de découpe
- la réglementation en vente directe
- les attentes des consommateurs et le marketing
D'ailleurs, n'oubliez pas de nous faire part de vos besoins en terme de formations ou de visites !
Le Guide Bio de la Nièvre est disponible au téléchargement !
Retrouvez la liste des agriculteurs bio qui commercialisent dans la Nièvre, ainsi que les AMAP, marchés et évènements bio. Les artisans et magasins spécialisés font également partie du guide !
Quelques exemplaires papier sont encore disponibles, contactez-nous pour en recevoir : gabni@biobourgogne.org
BIO BOURGOGNE, structure de développement de l'agriculture biologique en Bourgogne, a réalisé une enquête auprès des agriculteurs bio de la région afin de savoir s'ils seraient favorables à l'hébergement de ruches sur leurs parcelles.
La réponse est oui !
Nous avons constitué une liste d'agriculteurs volontaires, que nous tenons à disposition des apiculteurs intéressés.
Comme chaque semestre, BIO BOURGOGNE vous propose de répondre à son enquête en ligne sur :
- le prix de la paille
- le prix des fourrages
L'objectif est d'établir une « mercuriale » qui pourra vous aider à définir ou évaluer des prix.
Cette enquête ne vous prendra que quelques minutes et vous permettra de recevoir les résultats détaillés.
Merci d'avance pour votre participation !
A partir du mercredi 12 septembre 2018, les députés seront appelés à voter une dernière fois l'ensemble de la loi Agriculture et Alimentation. A cette occasion, les députés auront la possibilité de voter un amendement interdisant le glyphosate au plus tard dans 3 ans. C'est notre dernière chance d'interdire cette substance classée « cancérigène probable » par l'Organisation Mondiale de la Santé.
La FNAB publie une brochure destinée aux porteurs de projet, producteurs et productrices intéressés par l'élevage de porcs bio.
État des lieux de la filière et de ses dynamiques, débouchés, cahier des charges, repères techniques et financiers, témoignages d'éleveurs et d'éleveuses dans différents systèmes.
Vous y trouverez de nombreux éléments pour réfléchir et construire votre projet.
Le programme technique polyculture-élevage de BIO BOURGOGNE des prochains mois est disponible ici.
N'hésitez pas à vous pré-inscrire aux actions (les places sont limitées) et à nous signaler les autres thèmes que vous souhaiteriez voir aborder.
L'équipe polyculture-élevage de BIO BOURGOGNE
Un collectif d'acteurs (FNAB, ITAB, Zone Verte...) a vivement réagi au courrier diffusé par VIVEA et visant à restreindre les possibilités de mise en place de formations à la phytothérapie à destination des éleveurs.
Ces acteurs rappellent la nécessité d'une approche globale intégrant les plantes en santé animale si l'on veut réduire le recours aux médicaments de synthèse et notamment limiter l'antibio-résistance !
Vous trouverez le courrier adressé à VIVEA ici.
Dans le cadre de la prévention contre l'Influenza aviaire, l'arrêté du 8 février 2016 a imposé des mesures de biosécurité dans les exploitations de volailles. Ces mesures ont soulevé de nombreuses questions et inquiétudes de la part des éleveurs bio.
Afin de s'assurer que la mise en place de ces mesures de biosécurité ne mette pas en péril l'équilibre des exploitations avicoles biologiques, le réseau FNAB a contribué à la réalisation d'un guide de bonnes pratiques de biosécurité, qui soient compatibles avec le fonctionnement des systèmes d'exploitation diversifiés et en circuits courts.
Ce guide a été rédigé par la Confédération paysanne, avec qui le réseau FNAB a collaboré pour que les spécificités des élevages de volailles biologiques soient particulièrement prises en compte.
Téléchargez le guide ici !
L'Agence BIO et Les Eco Maires, en partenariat avec KissKissBankBank (en lien avec le projet "Terres Nourricières") proposent « Les Trophées BIO des Territoires », pour mettre en valeur les initiatives locales en faveur du développement de l'agriculture biologique dans les territoires.
La participation aux « Trophées BIO des Territoires » est gratuite et ouverte à toutes les communes, communautés de communes, communautés d'agglomération, communautés urbaines et métropoles de France métropolitaine et d'Outre-mer, ainsi qu'aux établissements publics territoriaux de la métropole du Grand Paris.
Les dossiers de candidature devront être renvoyés au plus tard le 26 octobre 2018.
Cliquez ici pour avoir plus d'information
La FNAB publie son communiqué de presse après l'annonce du plan ambition bio par le gouvernement, qui doit soutenir l'objectif de 15% de SAU bio en 2022.
Où sont les 1,1 milliards promis ?
Depuis plusieurs mois, le GABNi a pris en main la problématique de l'indemnisation des dégâts de gibiers pour les cultures biologiques.
Voici les dernières actions du réseau bio à ce sujet :
En tant qu'adhérent du GAB, n'hésitez pas à nous faire part de vos demandes, qu'elles soient syndicales, techniques ou tout autre !
Contactez l'animatrice : Marine PHILIPPE - gabsel@biobourgogne.org - 06 33 35 37 48
Deux nouveaux documents viennent de paraître dans le cadre du projet BIOREFERENCES :
- les résultats 2016 en caprins lait
- le guide : "Convertir son troupeau caprin en AB : à quelles conditions ?.
N'hésitez pas à les télécharger et à les diffuser autour de vous !
Le programme des événements bourguignons organisés dans le cadre du Printemps Bio a été actualisé.
Retrouvez ici les animations à destination du grand public, des agriculteurs, des consommateurs, des plus jeunes… : marchés et fêtes bio, portes ouvertes de fermes bio, projections-débats, tours de plaine et visites techniques, création d'une AMAP, …
Venez nombreux partager ces moments d'échanges et de convivialité avec les acteurs de la bio en Bourgogne !
Le programme est également consultable sur le site La Bio des 4 Saisons.
Le nouveau règlement bio européen a définitivement été approuvé le 22 mai 2018 par le Conseil des ministres. Ces nouvelles règles s'imposeront à tous les producteurs et productrices bio européens à partir du 1er janvier 2021.
Pour consulter le Communiqué de Presse de la FNAB : cliquez ici !
BIO BOURGOGNE vous propose de regrouper les commandes pour le GUIDE TECHNIQUE APICULTURE BIOLOGIQUE édité par la FNAB.
Pour consulter le sommaire et un extrait : ici.
Tarif unitaire des guides par l'intermédiaire du réseau bio :
14 € TTC frais de port inclus ;
12 € TTC frais de port inclus pour les commandes entre 10 exemplaires et 30 exemplaires
10 € TTC pour toute commande supérieure à 30 exemplaires.
Les guides seront à récupérer dans l'un de nos bureaux (Auxerre, Bretenière, Beaune, Cluny ou Nevers).
Ouverture des pré-commandes jusqu'au 16 mai 2018 : contacter Aurélie BILLON au 06 80 43 16 97 ou aurelie(.)billon(at)biobourgogne(.)org.
Le guide complet sera mis en ligne prochainement sur le site produire-bio.org et téléchargeable gratuitement.
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Lundi 26 mars, un séminaire de présentation des résultats 2016 du suivi de 70 fermes s'est tenu à Lempdes dans le cadre du projet BioRéférences , qui vise à produire et valoriser des références en agriculture biologique pour les systèmes d'élevage ruminants du Massif Central. |
Ce projet piloté par le Pôle AB Massif Central a été financé dans le cadre de la Convention Massif / Massif Central.
22 partenaires dont BIO BOURGOGNE participent à ce projet.
La présentation des références 2016, confirme les résultats technico-économiques 2015 en bio : en moyenne de bons revenus disponibles, une bonne efficience, une maîtrise des charges opérationnelles, une bonne valorisation de l'herbe produite dans le Massif Central. Ces systèmes autonomes et économes cachent une grande variabilité dans les résultats par filière et au sein des filières.
5/04/18
Annonce d'un soutien public de 1,1 milliard d'euros sur 5 ans pour la conversion en agriculture biologique :
Retrouvez ici le communiqué de presse de la FNAB.
Ma matinée de cette Assemblée Générale a permis de rappeler les objectifs du GAB pour le développement de la bio sur le département et de montrer que la dynamique de conversion est toujours aussi importante !
En fin de matinée, Laurent Charasse et Céline Vandamme de la DDT de Saône et Loire ont refait le point sur le planning de versement des aides à la bio, qui risque de prendre de nouveau du retard pour le paiement des aides 2016 et 2017.
Sur une note plus positive, le GABSeL compte deux nouvelles administratrices : Marie-Paule Huyghe, éleveuse à Vitry-en-Charollais et Nathalie Boyer, viticultrice à Romanèche Thorins ! Bienvenues à elles !
Après avoir dégusté les spécialités de chacun, nous avons fait l'ascension de la Roche de Solutré accompagné par un guide pour découvrir l'histoire de cette roche.
Merci à tous ceux qui ont fait le déplacement, et à bientôt à l'occasion d'autres évènements du réseau bio !
A la veille de l'ouverture du Salon International de l'Agriculture, le bio apparaît plus que jamais comme un secteur d'avenir, prêt à relever de nouveaux défis. Tous les signaux sont au vert : les professionnels sont en ordre de marche et les chiffres de la consommation sont très positifs. On dénombre 36 664 producteurs en agriculture biologique en France en 2017 et 73% des Français déclarent consommer un produit bio au moins une fois par mois (Baromètre Agence BIO/CSA 2018).
Dans le cadre de ses missions, le GABNi oeuvre au développement de la consommation des produits biologiques issus des fermes nivernaises.
En 2018, nous nous associons au Collectif Nivernais pour une Agriculture Durable (CNAD) pour proposer la réédition du guide, reprenant les points de vente des produits bio locaux Nivernais.
Nous faisons appel à votre générosité pour lancer l'édition du Guide Bio de la Nièvre, qui ne demande plus qu'à être imprimé et diffusé !
Un grand merci à tous ceux qui soutiendront ce projet !
Consultez le projet et participez à la campagne de financement !
La campagne durera 30 jours à partir d'aujourd'hui, via la plateforme de financement participatif Miimosa.
Renseignements auprès de l'animatrice du GABNi : gabni(at)biobourgogne(point)org
Le lieu test de mézilles recherche son porteur de projet.
L'appel à candidature est ouvert pour intégrer le lieu test de Mézilles.
Vous souhaitez vous installer en agriculture biologique en Bourgogne, mais vous ressentez le besoin:
• de mesurer concrètement la faisabilité technique et économique de votre projet,
• de mûrir votre projet professionnel,
• de vérifier l'adéquation entre votre projet de vie et votre projet professionnel,
• de bénéficier d'un accompagnement humain, technique, comptable, …
• de vérifier votre capacités à gérer et développer une ou des productions agricoles,
• de conforter des compétences et savoir-faire.
N'hésitez pas à contacter l'animatrice du GABY, Marion PRIMAT
Dans un contexte où la demande de bio n'a jamais été aussi forte, où les agriculteurs sont de plus en plus nombreux à s'y convertir mais où certains décideurs peinent encore à soutenir ce modèle durable, nous devons démontrer, de manière pédagogique, que les alternatives existent et qu'elles sont viables!
Si vous souhaitez organiser un événement (conférence, goûter bio, ciné-débat, visite de ferme), retrouverez la marche à suivre dans le Guide organisateur téléchargeable ici. Tout le monde peut participer !
L'ensemble des événement sera référencé sur le site internet de la Semaine pour les alternatives aux pesticides.
Le réseau bio de Bourgogne,
BIO BOURGOGNE et les GAB départementaux,
les présidents, l'ensemble des élus
et des salariés vous présentent leurs meilleurs voeux.
Que 2018 vous apporte joie, bonheur et santé, et que tous vos voeux se réalisent !
Pour cette nouvelle année, nous souhaitons que les politiques publiques et la demande des consommateurs nous confortent dans notre engagement pour l'agriculture biologique.
BIO BOURGOGNE à le plaisir de vous présenter le programme technique polyculture-élevage de ce début d'année.
N'hésitez pas à vous pré-inscrire aux actions (les places sont limitées) et à nous signaler les autres thèmes que vous souhaiteriez voir aborder.
Nous restons à votre disposition pour tout renseignement complémentaire.
L'équipe polyculture-élevage de BIO BOURGOGNE
La brochure complète est téléchargeable ici.
Cette édition présente et analyse les chiffres de l'agriculture biologique bourguignonne au 31 décembre 2016.
Selon des informations émanant de la FNAB (Fédération Nationale de l'Agriculture Biologique), après avoir supprimé les aides au maintien, ce sont maintenant les aides à la conversion qui sont menacées suite au désengagement de l'Etat !
L'ensemble de ces mesures va se traduire concrètement et à très court terme par une chute du nombre de conversions en bio !
Réalisé par la Confédération paysanne, avec la contribution du réseau bio de la FNAB et celles d'autres partenaires, ce guide est issu d'une large concertation professionnelle à laquelle vous avez participé.
Il sera encore modifié, notamment en fonction des retours de la DGAL. II sera donc actualisé régulièrement.
Vous pouvez le télécharger en cliquant ici.
Réunis en nombre au Creusot, les agriculteurs bio ont exprimé leurs revendications aux représentants de la région et des services de l'état.
Nous espérons que cette mobilisation portera ses fruits !
Suite à la procédure engagée dans chaque département par les DDT, demandant aux agriculteurs bio de revenir sur les déclarations PAC 2015, le GABNi se soulève et dénonce l'incohérence d'un tel dispositif.
Consultez le Communiqué de Presse du GABNi
contact : gabni@biobourgogne.org : 06 30 02 24 01
Le Point Info du GABNi est publié suite aux Conseils d'Administration du Groupement des Agrobiologistes de la Nièvre.
Vous y trouverez les actualités locales, ainsi que le positionnement du GAB sur différentes problématiques (défense de producteurs, actions de développement, soutien de collectifs...) :
- partenariats locaux
- suivi des adhésions : déjà 80 adhérents en 2017 !
- versement des aides bio, aide au maintien, dégâts de gibier et dispositif de désengagement des parcelles...
- Suivi de projets bio dans la Nièvre
- Prévision de l'Assemblée Générale du GABNi
Pour recevoir le détail du Point Info du GABNi, rien de plus simple : être adhérent au GAB !
Contactez l'animatrice pour plus d'information, ou pour adhérer : gabni@biobourgogne.org ou au 06 30 02 24 01.
Retrouvez ici le communiqué de presse du Réseau Bio de Bourgogne Franche-Comté, du lundi 2 octobre 2017.
Un éleveur du Charolais possédant actuellement 800 vaches a pour projet d'agrandir son exploitation pour en accueillir plus de 4000, afin de les préparer à l'exportation vers le Maghreb, la Turquie et même la Chine.
Devant l'ineptie environnementale, sanitaire et économique du projet, les riverains se mobilisent. L'enquête publique est toujours en cours.
Pour en savoir plus, l'article du Journal de Saône et Loire.
N'hésitez pas à vous pré-inscrire aux actions (les places sont limitées) et à nous signaler les autres thèmes que vous souhaiteriez voir aborder.
Nous restons à votre disposition pour tout renseignement complémentaire.
L'équipe polyculture-élevage de BIO BOURGOGNE
Fin juin, les négociateurs du Parlement et du Conseil européens sont parvenus à un accord sur le projet de révision du règlement bio. Voici quelques détails concernant les points ayant fait l'objet de négociations :
Selon le porte parole, tout est fait pour favoriser la plus grande confiance dans le secteur biologique. Le texte nécessite maintenant d'être adopté par la Commission de l'agriculture, le Parlement et le Conseil, pour une application dès juillet 2020.
Marquée par une croissance de 20%, la consommation grandissante des produits bio illustre pleinement la volonté des français d'accéder à des labels de qualité, répondant à un cahier des charges fiable et exigeant.
La réglementation européenne, en cours de révision depuis 2014, s'est enlisée dans les négociations internes aux institutions européennes.
Plusieurs décisions devront être prises d'ici la fin du mois de juin, dont trois modifications majeures qui risquent de mettre en danger la cohérence et la reconnaissance de l'Agriculture Biologique européenne.
En voici les modalités :
Autorisation du hors sol : Les pays baltes et scandinaves souhaiteraient pouvoir certifier la culture en bacs, ce qui est contraire aux principes du lien au sol et de la rotation des cultures
Nombre de contrôles à la baisse : Abaissement du nombre de contrôles des exploitations pour vérifier qu'elles respectent bien le cahier des charges. Au lieu d'un contrôle par an on passerait au mieux à un tous les deux ans voire plus
Un seuil de pesticides : Une liberté serait donnée aux États-membres de l'Union européenne de décider d'un seuil permettant de déclasser une production biologique en fonction d'un niveau de présence de résidus de pesticides. Ceci risque de créer un label à plusieurs vitesses selon le seuil décidé par chaque État-membre !
Une réunion du Conseil européen des ministres de l'Agriculture vient d'avoir lieu et le nouveau ministre français ne s'est pas exprimé sur ce sujet.
En signant cette pétition que nous relayons, vous relayez la demande :
- d'un positionnement du gouvernement français pour défendre l'intégrité du label bio auprès des institutions européennes et face aux autres Etats-membres.
- d'un maintien de la qualité du label bio pour conserver la confiance des français vis-à-vis de ces filières.
Participez à la pétition : cliquez ici
Déjà plus de 39 300 signatures !
Source et image : Agir pour l'environnement > La bio en Danger
Retrouvez ici le programme de toutes les animations proposées en Bourgogne : à destination du grand public, des professionnels, des scolaires…
Fêtons la bio en Bourgogne !
Gérard Michaut, 57 ans, vient d'être élu à la présidence du conseil d'administration de l'Agence BIO, Groupement d'Intérêt Public dont la mission est d'œuvrer au développement et à la promotion de l'agriculture biologique française. Il succède à Didier Perréol et représente Coop de France, Organisation professionnelle unitaire de la coopération agricole.
Céréalier bio dans l'Yonne (89), il a été élu par les représentants des structures membres du Conseil d'Administration : les Pouvoirs publics (Ministères en charge de l'agriculture et de l'écologie) et les structures professionnelles (APCA, Coop de France, FNAB et Synabio).
Retrouvez ici le communiqué de presse détaillé de l'Agence Bio.
Graine de Noé, partenaire historique de BIO BOURGOGNE, met en place une campagne de financement participatif pour assurer la conservation des variétés anciennes et paysannes!
Depuis 2010, Graines de Noé se consacre à constituer et maintenir une collection de plus de 200 variétés anciennes de céréales à paille, fédérant tous les acteurs de la filière: paysans actifs ou en retraite, transformateurs (meuniers, boulangers), distributeurs (magasins…), associations et particuliers.
Pour pouvoir conserver dans le temps des échantillons de ces variétés anciennes et les mettre a disposition des adhérents de Graines de Noé et ainsi développer leur utilisation, l'association souhaite investir dans une chambre froide. Cette acquisition apparait comme primordiale pour continuer le travail sur la sauvegarde et la défense des variétés anciennes: Graines de Noé a besoin d'un vrai coup de pouce!
Parlez de ce projet autour de vous et n'hésitez pas à relayer l'information! La campagne se termine bientôt, mais vous pouvez toujours participer en contactant directement graine de Noé!
Pour plus d'informations sur ce projet, cliquer sur le lien suivant: Une chambre froide pour Graines de Noé
C'est l'occasion pour le grand public de découvrir (ou redécouvrir!) les principes, les valeurs et les pratiques de l'Agriculture biologique grâce aux animations mises en place par les acteurs de la bio sur le territoire.
Comme toute l'année, mais plus particulièrement pendant le printemps bio, nous recensons toutes les actions que vous pourriez mettre en place pour informer et sensibiliser à la bio et à ses produits : fermes ouvertes, apéros bio, expositions, dégustations en magasins, animations dans les écoles, conférences, repas bio en restauration collective et commerciale …
N'hésitez pas à nous en informer et à demander le formulaire d'inscription à votre animateur(trice) de GAB (cf liste contacts ci-dessous). Nous diffuserons largement l'information sur le site des 4 Saisons de la Bio et dans un programme régional (téléchargez le mode d'emploi ici).
Nous disposons également d'outils de communication de l'Agence Bio, destiné au grand public (affiche, flyer ...). Demandez-les nous !
Rappel : Le Printemps BIO est une campagne coordonnée par l'Agence BIO, plateforme nationale d'information et d'actions pour le développement de l'agriculture biologique en France.
Retrouvez toutes les informations relatives à l'Agriculture Biologique sur le nouveau site du réseau bio : https://www.produire-bio.fr/
Chiffres de la bio, témoignages d'agriculteurs bio, conseils pour s'installer ou se convertir à l'AB... Mais également les lettres et actualités par filières et les contacts des antennes du réseau en région !
Le Point Info du GABNi est publié suite aux Conseils d'Administration du Groupement des Agrobiologistes de la Nièvre.
Vous y trouverez les actualités locales, ainsi que le positionnement du GAB sur différentes problématiques (défense de producteurs, actions de développement, soutien de collectifs...).
Ce mois-ci, retrouvez les infos concernant les positionnements syndicaux du GAB et les prochaines orientations !
Pour recevoir le Point Info du GABNi, rien de plus simple : être adhérent au GAB !
Contactez l'animatrice pour plus d'information, ou pour adhérer : gabni@biobourgogne.org ou au 06 30 02 24 01.
BIO BOURGOGNE tiendra son Assemblée Générale le jeudi 20 avril à Rouvray (21).
Moment privilégié de l'année pour échanger et débattre, la journée se déroulera en deux temps :
- Assemblée Générale statutaire le matin
- L'après-midi, présentation des chiffres de la bio et des activités 2016 de BIO BOURGOGNE
suivie d'une discussion, à partir d'une brève présentation de l'étude de l'ITAB, parue fin 2016, évaluant les externalités de l'agriculture biologique au regard de l'agriculture dite « conventionnelle »
Pourquoi et comment rémunérer les services environnementaux et sociaux apportés par les producteurs qui pratiquent le mode de production biologique ?
La Vitrine des producteurs bio de Bourgogne vous permet de communiquer auprès du grand public, pour faire la promotion de vos produits et activités. En 2016, on comptabilise plus de 57 000 visites !
Pour y figurer, il suffit de vous inscrire : télécharger le bulletin d'inscription
Tarif adhérent du réseau bio : 25€ pour 12 mois de visibilité.
Si vous souhaitez rendre visible un point de vente associatif auquel vous participez, c'est gratuit ! Contactez-nous.
Sur la vitrine des producteurs bio de Bourgogne, nous faisons figurer une fiche personnelle par opérateur (avec vos photos, vos produits, description de votre ferme), mais également :
- Vos actualités (marchés, évènements, mise en place d'atelier, portes ouvertes...)
- Des actus et dates agenda de la vie des bio en Bourgogne
Qui sont relayées mensuellement dans le Bulletin Consom'Action auprès du grand public (2 000 abonnés !)
Pour vous inscrire, contactez-nous !
En réponse à la demande qui leur avait été faite début 2016, les structures professionnelles bio de Bourgogne Franche Comté (BIO BOURGOGNE et Interbio Franche Comté) ont remis en novembre à la Présidente de la nouvelle région un programme stratégique de développement pour la bio en BFC.
Ce programme pluri annuel, qui s'inscrit dans le plan national Ambition bio, et le Schéma Régional de Développement Economique, d'Innovation et d'Internationalisation (SRDEII), est le fruit d'un travail conjoint des structures de développement 100% bio et de ses partenaires. Il se veut transversal, exhaustif et en cohérence avec le contexte régional. Il intègre dans une démarche d'analyse et de prospective les éléments de réflexion et les retours d'expérience de terrain dont bénéficient de longue date les structures bio historiques (Consultez la synthèse du programme ici. L'intégralité du document est disponible sur demande : biobourgogne@biobourgogne.org)
Par ailleurs, c'est sur la base des orientations proposées dans ce plan que nos structures ont, depuis, engagé avec les représentants de la Chambre Régionale d'Agriculture, les discussions visant à mettre en convergence les analyses et les propositions des uns et des autres en vue d'un accord, demandé par les pouvoirs publics, sur les objectifs qui seront assignés à la déclinaison régionale du Programme Ambition bio.
La prise en compte croissante par la Chambre Régionale du développement de la bio dans ses missions consulaires jointe à la volonté des structures spécialisées bio de mettre leurs compétences et leur expérience au service d'un développement global et cohérent de l'agriculture biologique offrent donc l'opportunité d'initier une démarche collaborative dans le cadre d'un partenariat équilibré avec le réseau des Chambres. Sanctionné par un engagement clair de la Région, un accord sur les axes et orientations prioritaires ainsi que sur la gouvernance du Comité Régional Ambition bio (CRAMB), pourrait déboucher sur la mise en œuvre dès 2017 d'un Plan Bio Bourgogne Franche Comté à la hauteur des besoins en accompagnement que suscite l'accroissement rapide des surfaces et du nombre des producteurs bio, et des soutiens que réclame le développement des filières sur le territoire.
"Mardi 28 février, Stephane Le Foll, de nouveau interpellé par la FNAB lors du séminaire de l'Agence Bio, a annoncé qu'une enveloppe de 343 millions d'euros allait être débloquée d'ici le 31 mars. Celle-ci doit permettre de régler 80% des sommes dues au titre des aides bio et des MAEC (mesures agro-environnementales) pour l'exercice 2016. (...)
Il reste qu les soldes 2015 des aides ne sont toujours pas réglés, que leur versement n'est pas prévu avant le deuxième semestre 2017, et que le soutien à l'agriculture bio est aujourd'hui menacé. (...)
La FNAB reste donc mobilisée pour le versement total des aides 2015 et 2016 et pour que l'Etat et les régions s'engagent à aider dans les années à venir tous les agriculteurs qui se convertissent à la bio, mais aussi tous ceux qui sont déjà certifiés, pour les services environnementaux qu'ils rendent à la collectivité.
Aujourd'hui même (le 28 février), une délégation régionale de la FNAB a remis 300 lettres d'agriculteurs réclamant le paiement des aides aux élus de la région Grand Est."
Retrouver le communiqué de presse en entier ici.
La Bio plébiscitée par les Français
Aujourd'hui, la Bio concerne la quasi-totalité des Français. D'après les derniers chiffres du Baromètre Agence BIO / CSA* : près de 9 sur 10 (89%) en ont consommé en 2016 et près de 7 sur 10 (69%) disent même consommer régulièrement bio, c'est-à-dire au moins une fois par mois. On est loin des chiffres enregistrés par la 1ère édition du Baromètre : en 2003, 46% des Français ne consommaient jamais de produits bio ! Cette évolution a lieu dans un contexte où les Français accordent de plus en plus d'importance à la préservation de l'environnement dans leurs actes d'achat (92% vs 89% en 2015 vs 67% en 2007). Ils trouvent dans la Bio une réponse à leurs attentes avec une agriculture d'avenir, basée sur le respect de l'environnement, du bien-être animal, favorisant l'emploi et le développement territorial.
La demande de produits bio en forte hausse
Désormais, la Bio est bien ancrée dans le quotidien des Français et les derniers chiffres enregistrés par l'Observatoire de l'Agence BIO dépassent toutes les prévisions établies. Tous circuits confondus, y compris en restauration collective, les ventes de produits issus de l'agriculture biologique dépassent les 7 milliards d'euros fin 2016, contre encore 5,76 milliards fin 2015, soit un gain d'environ +20% en seulement 1 an. Les magasins spécialisés enregistrent en particulier des hausses spectaculaires de leurs ventes, de l'ordre de +25%.
Une croissance historique de l'offre bio
Face à cette forte demande, la production bio monte en puissance en France pour atteindre des niveaux historiques. Fin 2016, on compte ainsi un total de 47 185 opérateurs exerçant des activités bio sur le territoire, +11,5% vs 2015, dont 32 326 exploitants agricoles bio, soit +12% vs 2015. Les surfaces consacrées à la Bio connaissent également une croissance exceptionnelle. Plus de 1,5 million d'hectares sont engagés en bio à fin 2016 (33% en conversion), soit +16% vs fin 2015. Désormais, on atteint 5,7% de la Surface Agricole Utile (SAU) en bio, contre 4,9% fin 2015.
Pour plus d'info, téléchargez le dossier de presse complet du 21 février 2017
Source image et texte : Agence Bio (www.agencebio.org)
Devant la recrudescence de témoignages d'agriculteurs impactés par des dégâts de gros gibiers sur leurs fermes, BIO BOURGOGNE et les GAB souhaitent construire avec vous un état des lieux régional des dégâts, et connaitre le ressenti d'un maximum d'agriculteurs Bourguignons.
- Afin de savoir quelles actions mettre en place, et quel message transmettre aux Fédérations de Chasse dans l'optique de les rencontrer
- Pour faire reconnaitre les intérêts des bio
- Afin de proposer vos solutions pour améliorer la prise en charge des dégâts de gibier
Merci de bien vouloir participer à l'enquête en cliquant sur le lien :
http://app.evalandgo.com/s/?id=JTk1bSU5QWslOUElQUQ=&a=JTk1ayU5MW0lOUIlQjA=
(questionnaire à remplir si vous avez eu ou non des dégâts cette année)
Nous comptons sur votre participation :
déjà 55 réponses en Bourgogne !
Les Assemblées Générales des quatre Groupements d'Agrobiologistes Bourguignons ont eu lieu ces deux dernières semaines. Ces temps forts associatifs ont rassemblé de nombreux adhérents, et a permis aux agriculteurs bio engagés de faire avancer leur groupement, dans un contexte d'une filière biologique grandissante. Chacun a pu faire part de ses attentes pour l'évolution du réseau bio en 2017 et 2018 : les changements prévus sont nombreux dans le contexte dynamique de l'Agriculture Biologique actuel.
A la suite de la partie statutaire des assemblées générales, les après-midis ont attiré de nombreux partenaires et élus locaux.
Après avoir constaté le développement manifeste de la bio dans chacun des départements ces deux dernières années, les débats et échanges ont porté sur le changement d'échelle de l'Agriculture Biologique en France et ses conséquences sur notre réseau.
En Côte d'Or comme en Saône et Loire, le débat sur le changement d'échelle a fait ressortir un besoin fort : la nécessité de structurer les filières de distribution locales du bio.
Dans ce cadre, de bonnes nouvelles sont venues du Grand Dijon avec la confirmation du projet de grande légumerie où la bio tiendrait une bonne place, et du Conseil Général de Saône et Loire avec la création d'une plateforme Agrilocal pour permettre aux producteurs et aux établissements scolaires d'entrer en relation.
Après ces échanges forts, les participants à l'AG du GABSeL sont allés visiter le domaine de la Soufrandière, en compagnie de Jean-Philippe BRET.
Dans la Nièvre, la dimension économique des externalités fournies par l'AB sur l'environnement et la société a fait l'objet d'une présentation suivie d'échanges.
Les AG sont l'occasion de faire parler du réseau bio à l'échelle locale, et de soutenir les initiatives telles que la mise en place d'un repas biologique au lycée agricole nivernais où se tenait l'AG du GABNi. Un partenariat entre producteurs bio et restauration collective semble possible et a de beaux jours devant lui !
(ci-dessus : GABNi)
(Ci-dessus : GAB21)
(Ci-dessus : GABY)
(Ci-dessus : GABSeL)
Les bulletins d'adhésion aux Groupements des Agrobiologistes des 4 départements de Bourgogne sont désormais disponibles pour l'année 2017 !
Cliquez ici pour adhérer :
En adhérant, vous soutenez le réseau bio et pouvez profiter de différents services gratuitement ou à un tarif privilégié.
Pour plus d'information contactez votre animateur de GAB :
gab21@biobourgogne.org pour la Côte d'Or,
gaby@biobourgogne.org pour l'Yonne,
gabsel@biobourgogne.org pour la Saône et Loire,
et gabni@biobourgogne.org pour la Nièvre.
L'élection présidentielle à venir est décisive pour l'avenir de notre pays et notamment pour notre agriculture. Tout le monde a conscience que des solutions systémiques doivent être promues pour sortir de la crise sans fin qui détruit les fermes et les productrices et producteurs dans les filières d'élévage en particulier, éloigne tous les jours un peu nos concitoyens des réalités agricoles.
La bio est plébiscitée et portée par des agricultrices/teurs (21 nouvelles fermes par jour converties en bio en 2016), des PME soucieuses d'innovation, des élu-e-s locaux, des parents d'élèves, et des consommatrices/teurs par millions. Il s'agit d'une aspiration sociétale profonde qui n'est pas une simple tendance de consommation. La bio a des impacts notamment sur l'économie, l'emploi, l'agriculture, l'alimentation, la santé, et l'environnement.
Alors qu'en pensent les candidat-e-s à l'élection présidentielle ?
Les paysann-e-s de la Fédération nationale d'agriculture biologique et leurs organisations économiques, les coopérateurs-trices bio de Coop de France, les entrepreneur-e-s, transformateurs et réseaux de magasins de proximité membres du Synabio vous invitent le 8 février à Paris de 14h à 17h30 à l'amphithéâtre de la halle Pajol afin d'entendre les positions des candidat-e-s et/ou de leurs représentant-e-s pour la mandature 2017-2022. Ils seront au rendez-vous.
A cette occasion, nous présenterons notre "Pacte pour une agriculture et une alimentation d'intérêt général" présenté aux élu-e-s locaux, nombreux sont ceux qui soutiennent la bio pour la transition agricole des territoires comme en témoigne le succès du séminaire organisé sur ce thème par la FNAB les 19 et 20 janvier avec 250 territoires présents.
Nous comptons sur votre présence et votre soutient. Bien cordialement,
Stéphanie Pageot, présidente de la FNAB
Le ministère de l'agriculture a publié un communiqué de presse annonçant une revalorisation des ATR 2015 concernant les aides à la bio et les MAEC et la prise en compte de certaines demandes pour les ATR 2016.
Régulièrement, les lettres filières FNAB vous permettent d'aborder différents sujets. La dernière publication vous permettra de découvrir ou d'approfondir les sujets suivants :
- Production et filière en veau de lait bio
- Conjoncture des viandes bio (données novembre 2016)
- Développement des filières Lapins bio
- Organisation de la filière de production de poules pondeuses en Allemagne
- Résultats des dernières recherches et expérimentations en ovin viande
-Approche territoriale des filières bovines bio en Auvergne-Rhônes-Alpes
Cliquez ici pour télécharger la lettre filière viande
Bonne lecture !
Cette édition présente et analyse les chiffres de l'agriculture biologique bourguignonne au 31 décembre 2015.
Cette veillée fut forte en échanges autour des fondements de la bio, mais aussi en convivialité et bonne humeur !
Julien nous a présenté le domaine en compagnie de son père, Alain Guillot, ancien président de la FNAB, qui a permis la reconnaissance du logo AB et des cahiers des charges de l'Agriculture Biologique.
Après la visite de la cave et une dégustation des vins du domaine, les échanges ont continué autour d'un repas, composé des spécialités culinaires de chacun. Nous avons ainsi pu déguster des saucissons cuits par les vapeurs de l'Alambic de la famille Chapuis de Mancey, qui distillait les Marc et Fine de Bourgogne du domaine ce soir là.
Un grand merci à vous d'êtres venus, et à Julien et son père pour leur accueil chaleureux !
Je vous souhaite à tous de bonnes fêtes de fin d'année, et à bientôt en 2017 !
Réservez dès à présent la date dans votre agenda !
Au programme :
* Accueil des adhérents à partir de 9h
* 9h30 : Assemblée Générale réservée aux adhérents
* Repas sur place, ouvert à tous, à partir de 12h30 (inscription indispensable)
* 14h30 : Visite d'une ferme ou autre visite culturelle sur notre beau territoire
Vous recevrez très prochainement une invitation comprenant plus de détails sur le déroulement de la journée, avec en particulier le lieu.
Le GABSeL vous souhaite de très belles fêtes de fin d'année, à bientôt en 2017 !
Quel lien entre qualité de l'eau et agriculture biologique ? Informez-vous sur ce thème d'actualité via l'article de l'Yonne Républicaine. Faites la connaissance de Christophe Dupuis, agriculteur bio sur l'air d'alimentation de captage d'Eau de Paris, et adhérent du réseau bio (BIO BOURGOGNE - GABY).
Saviez-vous qu'en 2016, une liste positive d'adjuvants autorisés en AB a été mise en place ?
La règle des 3/4 de vie des animaux bio, qui s'applique dans le cadre des conversion non simultanées, a été éclaircie afin de limiter les erreurs.
Les mutilations des animaux doivent bien rester exceptionnelles, justifiées, et faire l'objet d'une demande de dérogation systématique. Les traitements analgésiques ou antalgiques doivent porter l'une de ces deux mentions. Les autres solutions sans prescriptions vétérinaires ne sont pas recevables.
L'attache des animaux peut faire l'objet d'une dérogation particulière. Et les conditions d'accès au pâturage sont précisées pour maintenir les élevages caprins dans les normes de l'Agriculture Biologique.
Plusieurs chantiers sont en cours, et d'autres sujet sont abordés.
Consultez la veille réglementaire de la FNAB pour plus de détails, et référez-vous au Guide de lecture, où vous retrouverez ces informations.
Le 8 décembre prochain la FNAB, la Plate-Forme pour le Commerce Equitable (PFCE) et le réseau InPACT co-organisent les Assises Nationales du Commerce Équitable en France. L'événement se tiendra à Paris. La journée réunira producteurs, coop, transformateurs et distributeurs.
A l'heure actuelle : une centaine d'inscrits, mais il reste encore des places !
Objectifs de la journée :
Inscriptions ICI avant 5 décembre !
Des vidéos de présentation à consulter sur internet !
Un article consacré au passage au bio de la Ferme du Val d'Osseux, qui a atteint depuis un niveau d'autonomie fourragère satisfaisant au vue des valeurs défendues par l'éleveur.
L'AGENCE BIO répond à la polémique du saumon bio par un communiqué de presse rappelant l'enjeu des filières biologiques.
A quelques semaines des fêtes de fin d'année, les professionnels de la bio souhaitent rassurer les consommateurs sur la qualité des saumons bio, qui respectent le strict cahier des charges régissant ce mode de production ainsi que la réglementation générale en matière de qualité sanitaire.
Si certaines enquêtes ont pu déceler des traces de contaminants dans des saumons bio, elles sont toutes largement inférieures aux limites fixées par la réglementation européenne et ne présentent pas de danger pour la santé humaine. En outre, les professionnels de la bio tiennent à souligner qu'ils sont les premières victimes de la pollution induite par les activités humaines contre laquelle ils luttent au quotidien.
Afin de respecter au plus près leur alimentation naturelle, les saumons bio sont nourris d'aliments bio et de poissons sauvages issus de pêches durables, qui peuvent être impactés par la pollution environnementale.
Les éleveurs de saumons bio n'en sont pas responsables : la préservation de l'environnement et la non-utilisation de produits chimiques de synthèse fait partie des fondements même du mode de production biologique !
Par ailleurs, le saumon fait partie des poissons « gras » dont la consommation hebdomadaire est officiellement recommandée par le Programme National Nutrition Santé (PNNS). Il s'agit, en effet, de la seule famille d'aliments capable de nous apporter la combinaison Oméga 3 et vitamine D.
Une aquaculture biologique respectueuse de la Nature
Pour rappel, l'aquaculture bio travaille dans le respect du bien-être animal et de la préservation de l'environnement :
• faible densité des animaux, préférence donnée aux traitements naturels en cas de nécessité ;
• alimentation biologique ou naturelle adaptée, sans OGM et durable. L'alimentation des saumons bio est particulièrement riche en ressources d'origine marine ;
• priorité donnée aux espèces locales, n'affectant pas les niveaux de stocks de poissons sauvages, les écosystèmes aquatiques sont préservés ;
• contrôles réguliers effectués par des organismes indépendants agréés par les Pouvoirs publics, de la production à la distribution, pour s'assurer de la conformité à la réglementation.
En privilégiant les produits issus de l'aquaculture biologique (saumons, truites, dorades, bars, crevettes, huitres, moules...), les consommateurs contribuent à l'essor d'une filière de qualité et participent à la protection de l'environnement avec des professionnels engagés.
Cliquez ici pour voir le Communiqué de presse de l'Agence bio
Depuis le début de l'année 2016, un groupe d'agriculteurs bio travaille à la mise en place d'un magasin de producteurs 100% bio au centre ville de Decize (58).
Dans une optique à la fois durable et éthique, ce magasin aurait pour vocation d'être le lieu de vente en direct de produits bio locaux, et permettrait deux emplois en insertion, grâce à un service de livraison à domicile des commandes.
Les premières pierres ont été posées,
Les envies de chacun ont été étudiées,
Les produits ont été recherchés,
Les agriculteurs ont besoin de vous (producteurs ou consommateurs) pour concrétiser ce projet, qui verra le jour si l'approvisionnement local et le soutien citoyen sont suffisants.
Les personnes souhaitant soutenir ce projet collectif en offrant leur temps pour participer au montage administratif et juridique du magasin bio seront accueillies à bras ouverts. Les producteurs intéressés par ce débouché sont également invités à les rejoindre.
Pour participer aux prochaines réunion ou pour toute question,
contactez :
- Gilbert CHAMPAGNE (gilbertchampagne@wanadoo.fr)
- Lola JEANNINGROS, BIO BOURGOGNE (lola.jeanningros@biobourgogne.org, 06 30 02 24 01)
Le Point Info du GABNi est publié suite aux Conseils d'Administration du Groupement des Agrobiologistes de la Nièvre.
Vous y trouverez les actualités locales, ainsi que le positionnement du GAB sur différentes problématiques (défense de producteurs, actions de développement, soutien de collectifs...).
Pour recevoir le Point Info du GABNi, rien de plus simple : être adhérent au GAB !
Contactez l'animatrice pour plus d'information, ou pour adhérer : gabni@biobourgogne.org ou au 06 30 02 24 01.
L'aide au contrôle ? C'est une prise en charge jusqu'à 20%* de vos frais de certification annuels.
Pour en bénéficier, il faut fournir les pièces suivantes :
Les dossiers sont à envoyer au plus tard fin Novembre 2016.
Le GABNi propose son aide aux adhérents dans les démarches administratives. Cliquez si vous souhaitez adhérer (télécharger le bulletin d'adhésion).
Toutes les bonnes raisons d'adhérer au GABNI : Rejoindre le GABNi !
Le Comité Agrobio 2016 réunissant les élus du GABNi et de la Chambre Départementale de la Nièvre, se tiendra le jeudi 13 octobre.
L'objectif de ce rendez-vous annuel est de faire le bilan des actions menées sur le département en 2016, et de continuer la réflexion autour des partenariats possibles entre les structures locales de développement de l'Agriculture Biologique. Ainsi, les actions mises en place en 2017 conviendront au mieux aux besoins recensés sur le terrain.
Pour plus d'informations, vous pouvez contacter l'animatrice du GABNI.
Télécharger ici le bulletin d'adhésion au GAB21.
Pour découvrir votre GAB et la vie du réseau bio en Bourgogne, vous pouvez également télécharger la Lettre du GAB21 - juin 2016.
Bénéficiez d'un soutien à la certification en demandant l'aide au contrôle, réservée aux adhérents du GAB21 : formulaire de l'aide au contrôle 2016
Découvrez les événements organisés en Bourgogne : animations à destination des professionnels et du grand public : portes ouvertes, marchés bio, animations en milieu scolaires, … Venez nombreux !
Si vous êtes à l'initiative d'animations, n'hésitez pas à les enregistrer sur le site des 4 Saisons de la Bio : http://www.labiodes4saisons.eu
Ce marché est co-organisé par La Ville de Quetigny, la Croix-Rouge française - chantier d'insertion Pré Vert, et les Jardiniers de Quetigny. Il a le soutien de Nature et Progrès BFC et de la MFR de Quetigny.
Si vous êtes intéressé pour participer à ce marché bio, n'hésitez pas à prendre contact dès maintenant avec les organisateurs.
Veuillez trouver en téléchargement les documents 2016 correspondants : dossier de présentation et dossier de candidature.
Le délai de remise des dossiers de candidatures (en 2 exemplaires) et de l'intégralité des pièces demandées est fixé 30 juin 2016 dernier délai (cachet de la poste faisant foi)
La première liste des produits autorisés en tant que biostimulants comprend une centaine de substances naturelles, dont le fameux purin d'ortie. (© Watier-Visuel)
En application de la loi d'avenir agricole, le ministère a publié le 30 avril un arrêté et un décret autorisant la fabrication, la commercialisation et l'usage d'une centaine de substances naturelles à usage de biostimulant, dont le fameux « purin d'ortie ».
Le ministère de l'agriculture a publié au Journal officiel du 30 avril 2016 deux textes concernant la procédure d'autorisation des substances naturelles à usage biostimulant, en application de la loi d'avenir agricole du 14 octobre 2014.
Besoin d'outils de communication ?
Nous vous rappelons que BIO BOURGOGNE est un relai régional de l'Agence Bio, qui propose de nombreux outils et supports pédagogiques sur l'Agriculture Biologique.
Vous pouvez consulter la liste et les visuels de ces outils en cliquant sur le lien ci-dessous :
www.agencebio.org/lekiosquebio
Vous trouverez ici un tableau à compléter. Merci de nous le retourner au plus tard pour le 31 mai par mail, courrier ou fax. Nous vous garantissons l'anonymat et la confidentialité des données communiquées.
Le fonctionnement de cette mercuriale est le suivant :
- vous nous renvoyez la mercuriale complétée pour les fourrages que vous avez achetés ou vendus en 2016, 2015 et avant si vous le souhaitez ! (une fiche par année)
- les personnes ayant répondu à cette enquête recevront une synthèse comportant :
- les prix moyens, médians, minimum et maximum des fourrages et de la paille biologiques,
- à terme : l'évolution pluriannuelle des prix des fourrages biologiques.
Si le nombre de réponses est suffisant, une mercuriale pourra être réalisée chaque année, pour chaque département.
Comptant sur votre participation pour une plus grande représentativité !
Retrouvez la dès maintenant sur notre site internet.
N'hésitez pas à consulter cette rubrique pour connaître l'offre et la demande sur votre région et diffusez vos annonces.
Depuis deux / trois ans, le local, les circuits courts et le « durable » ont détrôné la bio dans les discours de la majorité des élus. Pire, ils sont parfois mis en opposition. Ce phénomène invite le réseau FNAB à se repositionner dans l'accompagnement de la restauration collective, en questionnant son approche et sa stratégie de communication auprès des établissements.
Pour garder une longueur d'avance, la FNAB lance une étude sur la problématique suivante : dans quelles conditions le local peut-il être un levier pour la bio en restauration collective ?
L'objectif est de savoir comment se positionner par rapport au local (est-ce un atout ? un frein ? un premier pas vers la bio?...) et d'identifier comment le réseau doit vendre son offre de services auprès des acteurs de la RC, notamment des plus bio-sceptiques.
Pour nous aider à mener ces travaux, Solène CONSTANT vient de rejoindre la FNAB pour son stage de fin d'études (6 mois). Elle analysera plusieurs trajectoires d'établissements afin de mettre en exergue les représentations autour du local, du bio mais également les jeux d'acteurs entre les différentes parties prenantes (élus, cuisiniers, gestionnaires, convives, etc.) et les facteurs de changement.
Par ailleurs, un sondage sera réalisé auprès du réseau pour connaître les besoins et retours d'expériences vis- à-vis de cette problématique. Enfin, cette étude sera clôturée par une ou deux journées de formation sur les questions de posture/résistance au changement/communication non violente (début septembre).
► Pour toute suggestion ou question, vous pouvez contacter Solène CONSTANT : sconstant@fnab.org
Le mercredi 2 mars 2016, lors du Salon de l'agriculture, le président de l'ITAB Thierry MERCIER et la présidente de la FNAB Stéphanie PAGEOT ont signé une convention de partenariat entre leurs deux structures pour renforcer les synergies entre recherche-expérimentation et développement agricole.
Un des principaux enjeux de cet accord-cadre est de placer les producteurs au cœur de la recherche, de l'expérimentation et du développement. Stéphanie PAGEOT a rappelé notamment l'importance des besoins de recherche et expérimentation « sur les alternatives au cuivre, en viticulture en particulier, pour la reconnaissance des pratiques paysannes sur la phytothérapie – tant pour la santé animale que pour la protection des cultures – ou encore pour la valorisation de la qualité des produits bio ».
Pour que l'ITAB puisse porter les besoins des producteurs, il est essentiel que nous, réseau des producteurs bio, nous fassions remonter ces besoins, depuis le terrain jusqu'à la FNAB et l'ITAB, à travers les groupes techniques interrégionaux, les commissions filières, les salariés du réseau mandatés auprès de l'ITAB, etc. Cet accord doit permettre de renforcer les échanges entre les deux réseaux et les collaborations sur des projets de recherche-développement (à l'exemple du projet Innovez-Bio coordonné par l'ITAB). Thierry MERCIER a évoqué les collaborations en cours, notamment sur les aménités de l'AB et les références technico-économiques, sociales et environnementales de la bio.
Un accord que nous devons nous assurer de faire vivre, en communiquant au sein de notre réseau et entre réseaux, sur les projets d'expérimentations locaux, sur notre participation à des projets de recherche et en mobilisant les compétences de nos deux réseaux.
Pour aller plus loin:
► Le communiqué de presse de l'ITAB et la FNAB ;
► Le «Qui fait quoi» de l'ITAB (à consulter et renseigner);
► L'organigramme de l'ITAB.
Le groupe communication du réseau FNAB avait accueilli Sophie BORDERES le 19 janvier dernier pour la présentation de l'édition 2016 de la Semaine pour les alternatives aux pesticides (du 20 au 30 mars). N'hésitez pas à nous envoyer un résumé de vos actions afin que nous puissions rendre compte de notre investissement dans un moment charnière du combat contre les pesticides.
► Contact: Julien ADDA (jadda@fnab.org)
Retrouvez le calendrier en ligne des différents marchés et évènements bio en Bourgogne, en cliquant sur le lien ci-dessous :
https://docs.google.com/spreadsheets/d/1W9pk2EQgZY5cjPy2YFmeNpBkazGvUW4KdTWfvIuY1XM/edit?usp=sharing
Si vous participez à d'autres évènements, faites-le nous savoir !
Les 4 heures de débat n'ont pas suffi aux sénateurs, le 9 mars, pour terminer l'examen de la proposition de loi sur l'ancrage territorial. Le texte avait pourtant été adopté à l'unanimité par l'Assemblée nationale en janvier. L'article 1er qui fixait un objectif de 40% de produits durables dont 20% de produits bio pour la restauration publique a suscité de nombreuses réactions. Un amendement supprimant l'objectif de 20 % de produits bio, porté par le sénateur Henri TANDONNET, a été adopté par le Sénat. Cet objectif chiffré est ainsi remplacé par une mention beaucoup plus floue: «Une proportion de produits correspondant aux capacités de production locale est issue de l'agriculture biologique».
La FNAB a suivi de près les débats et est intervenue à plusieurs reprises dans les médias et auprès des sénateurs pour porter la voix des producteurs bio :
• Elle a été invitée sur le plateau TV de Public-Sénat (à visionner en replay à partir de 15'15'') ;
• Avant le débat au Sénat, elle a rédigé et diffusé une note sur la capacité des filières bio à fournir la RC ;
• Suite au débat, elle a publié un communiqué de presse interpellant le gouvernement ainsi qu'un article contre-argumentaire.
L'examen du texte devrait se poursuivre le 19 mai prochain. L'Assemblée nationale peut ensuite « adopter le texte conforme », ce qui semble peu probable étant donné les importants amendements. Sinon il devra être rediscuté, à l'Assemblée, puis au Sénat, ce qui reporte les examens à janvier et mai 2017, en pleine élection présidentielle...
À la demande de la FNAB, François HOULLIER, président de l'INRA, a reçu une délégation de la FNAB composée de Stéphanie PAGEOT, présidente de la FNAB, Jean-Paul GABILLARD, membre du bureau, Julien ADDA, délégué général, et Chahin FAÏQ, chargé de mission, le 4 mars, lors du Salon de l'agriculture. La présidente de la FNAB a rappelé la forte dynamique des conversions en AB et a interrogé François HOULLIER sur sa vision de la bio et sur l'investissement de ses équipes sur le sujet.
Le premier programme de recherche de l'INRA sur la bio date seulement du début des années 2000. Ce qui n'a pas empêché des chercheurs de travailler sur l'AB bien avant 2000, mais en dehors de programme. Le président de l'INRA d'alors, Bertrand HERVIEU, écrivait que « l'incompréhension réciproque [entre l'INRA et l'AB] qui a prévalu durant tant d'années [...] a coûté cher à notre pays, en privant ce secteur particulièrement innovant du progrès technique dont l'INRA a su irriguer pratiquement tous les autres secteurs de notre agriculture ».
Aujourd'hui, on peine à évaluer l'investissement et la production de l'INRA sur l'AB. L'INRA se targue d'être le premier producteur d'articles scientifiques sur la bio au monde! Néanmoins, cette production représenterait seulement entre 0,5 et 5 % des budgets et des publications de l'INRA.
Des échanges, parfois vifs, avec le président de l'INRA, sont sorties quelques propositions pour améliorer la compréhension réciproque et développer la recherche sur la bio et la capitalisation des résultats :
• Travailler sur un projet de laboratoire vivant sur la bio : identifier un territoire sur lequel l'ensemble des acteurs, producteurs, chercheurs, consommateurs, etc., travailleraient sur le développement des innovations de la bio;
• Suivre la mobilisation de moyens financiers pour conduire des travaux de recherche en cours sur les aménités de la bio (étude pilotée par l'ITAB et mobilisant des chercheurs de l'INRA) ;
• Travailler sur un projet de MOOC (cours en ligne) sur l'AB : à noter qu'un projet est déjà en cours dans le réseau Formabio et un autre est travaillé par l'institut agronomique, vétérinaire et forestier français (IAVFF) ;
• Renforcer nos liens avec les écoles d'agronomie sur la place de la bio dans les cursus et dans les laboratoires de recherche de ces établissements;
• Une prochaine rencontre d'ici deux à trois mois sur la stratégie de l'INRA.
Après avoir rappelé à l'INRA sa coresponsabilité dans la situation de crise structurelle de l'agriculture, Stéphanie PAGEOT a remis au président de l'INRA trois études scientifiques sur les performances de la bio et l'urgence de réorienter l'agriculture ainsi que le DVD du reportage sur sa ferme Le veau, la vache et le territoire. Jean-Paul GABILLARD lui a proposé de visiter des fermes bio multi-performantes. François HOULLIER a accepté l'invitation. Qui veut recevoir le président de l'INRA ? À vos propositions de fermes !
► À noter : L'INRA organise un colloque sur les « dynamiques de développement des systèmes agricoles et alimentaires biologiques » à Rennes le 28 avril
La FNAB, avec le soutien d'organisations européennes de producteurs bio, a répondu avec un communiqué de presse à la campagne de désinformation à l'œuvre depuis quelque temps sur la question des seuils de décertification dans la nouvelle réglementation bio actuellement en discussion au niveau européen. Des pétitions et articles de presse ont tenté de jeter le discrédit sur la filière à coup de contre-vérités. En tant que défenseurs de l'intérêt des producteurs bio français, allemands, autrichiens et suisses, nous avons réaffirmé la position des acteurs bio européens qui travaillent depuis plus de trente ans au respect des principes de l'AB. En parallèle, nous avons aussi obtenu le retrait d'une pétition du site Cyberacteurs.org après l'envoi d'un courrier, rappelant lui aussi la position des producteurs et du réseau FNAB sur le sujet.
► Téléchargez le communiqué de presse !
Le 15 mars dernier, la FNAB a organisé pour le compte de Lait Bio de France et de ses cinq organisations membres leur premier débat public sur le thème « La production laitière de demain : biologique ? ». Toute la presse agricole était présente et a rapporté la vision responsable d'une filière consciente de la chance que représentent les conversions et soucieuse que celles-ci soient accompagnées techniquement et économiquement dans le long terme compte tenu parfois des écarts importants des systèmes. Trois GRAB (Pays de la Loire, Poitou-Charentes, Bretagne) ont publié un communiqué de presse commun en ce sens.
La FNAB a organisé le 10 mars, en partenariat avec MBIM, un séminaire « Modèles et stratégies pour approvisionner la restauration collective bio ». Cette journée a réuni pour la première fois (!) producteurs et salariés du réseau FNAB et des plates-formes parmi lesquelles des structures non adhérentes à MBIM. Plus de 50 personnes, dont 10 producteurs, y ont participé et confirmé l'importance de cette thématique.
La matinée était consacrée à la restitution d'une étude commandée par la FNAB à Patrick CREAC'H de KEJAL sur l'analyse comparée de cinq modèles d'approvisionnement de la RC bio. Cette étude a notamment fait apparaître les facteurs clés de réussite des plates-formes pour la restauration collective.
L'après-midi, des ateliers ont permis de fixer des objectifs et construire des feuilles de route par grande région. Une journée qui a visiblement plu aux participants : « Je repars avec des clés en main pour le développement de notre structure suite à l'étude de Patrick et une motivation sans nom ! ».
Retrouvez sur l'Intranet:
► Le diaporama de l'étude «Analyse comparée de systèmes d'approvisionnement de la RC bio»;
► La synthèse de l'étude «Analyse comparée approvisionnement RC bio (34 pages)»;
► Les portraits des cinq structures analysées (MAB29, Agri Court, Norabio, MB35 et MBisère).
Pour répondre plus efficacement aux demandes des responsables de la restauration collective qui sont en recherche de produits bio et réactualiser nos listings de producteurs fournisseurs de la restauration collective, nous avons besoin de vous connaitre.
Les informations collectées serviront également à établir un état des lieux de la vente en restauration collective et à amorcer une réflexion quant aux développements possibles de ce débouché.
L'enquête s'adresse à tous(tes) les agriculteurs(trices), qu'ils(elles) vendent ou non leurs produits à la restauration collective.
Vous souhaitez participer ? Rien de plus simple.
Il vous suffit de remplir en quelques minutes le questionnaire en ligne dédié.
Accéder au questionnaire |
Une enquête par entretien est menée en parallèle afin d'affiner les résultats et de mieux évaluer vos attentes. Si vous êtes intéressé(e), n'hésitez pas à nous contacter.
Merci pour votre participation !
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Le Réseau Bio de Bourgogne lance un appel à la Grande Région Bourgogne Franche-Comté. |
Niveau des aides, mesures de soutien, appui aux filières…
Face à l'afflux des conversions, la nouvelle grande région saura-t-elle relever le défi de l'agriculture biologique ?
Lola JEANNINGROS remplace Laurent BARLE à l'animation du GABNI. Après 15 ans d'animation du GABNI, Laurent a pris la direction de BIO BOURGOGNE en novembre dernier.
"Je suis Lola JEANNINGROS, ingénieur agro issue de l'ENSAIA, à Nancy. Localisée à Nevers, l'antenne nivernaise de BIO BOURGOGNE, je suis en charge de l'animation du GABNI, ainsi que du conseil technique en élevage et polyculture-élevage. N'hésitez pas à faire remonter vos besoins".
Vous pouvez joindre Lola :
- par mail au gabni@biobourgogne.org
- par téléphone au 06 30 02 24 01 ou 03 86 36 94 25
- par courrier ou en vous déplaçant directement dans nos bureaux : GABNI - 25, Bd Léon Blum - 58000 NEVERS
"Je remplace Aurélie Adoir en tant qu'animatrice du GAB de Saône-et-Loire pendant son congé maternité.
J'assure aussi l'animation territoriale et le conseil en élevage sur le département de la Saône-et-Loire.
N'hésitez pas à me contacter au 06 33 35 37 48, par mail à l'adresse gabsel@biobourgogne.org, ou en vous déplaçant directement dans nos bureaux : GABSeL - Communauté de Communes En Clunisois - 5, Place du Marché - 71250 CLUNY"
Marine PHILIPPE
9 Français sur 10 (89 %) consomment bio, au moins occasionnellement, alors qu'ils n'étaient encore que 54 % en 2003.
65 % des Français en consomment régulièrement, au moins une fois par mois, contre 37 % en 2003.
Paris, le 22 février 2016 – La semaine dernière, le Haut Conseil des Biotechnologies (HCB) a publié une première contribution sur les nouvelles techniques de modification génétique, dites NBT (New Breeding Techniques). Un sujet brûlant qui concerne le statut juridique des produits végétaux et animaux issus des nouvelles techniques de modification génétique.
Depuis janvier dernier, les députés et sénateurs ont la responsabilité de débattre et d'adopter la proposition de loi numéro 303 visant à favoriser l'ancrage territorial de l'alimentation.
Des sénateurs veulent sortir de la loi l'objectif de 20% de bio dans les cantines en 2020 : ne nous laissons pas faire !
La FNAB est partenaire de la pétition lancée par Agir pour l'environnement pour rétablir le 20% de bio dans la proposition de loi qui sera votée mercredi au Sénat.
Merci de votre signature + diffusion dans vos réseaux : http://cantinebio-senateurs.agirpourlenvironnement.org/
- Plan Prévisionnel de Fumure
- Cahier d'Enregistrement des pratiques
- Description du cheptel
- Bilan azoté post récolte
Adhérents GAB |
Non adhérents |
|
RDV au bureau |
200 € |
400 € |
RDV sur votre ferme |
300 € |
600 € |
Pour acquérir cet outil, poser vos questions ou prendre RDV, un seul contact :
L'objectif est, à travers des enregistrements de pratiques et des analyses coprologiques régulières, de faire un état des lieux et de travailler en groupe sur les solutions à mettre en place pour gérer les parasites.
Ce groupe est ouvert à tous, n'hésitez pas à le rejoindre pour la campagne 2016, le suivi commence 3 semaines après les mises bas.
De plus en plus, des semences de variétés hybrides sont obtenues grâce à des techniques de fusion cellulaire pour développer le caractère de stérilité mâle cytoplasmique ou CMS (techniques dites aussi CMS par fusion protoplasmique) et ainsi produire des hybrides à bas coût. Bien que ce caractère puisse apparaître de manière naturelle, la technique de fusion cellulaire pourrait être assimilée à une technique OGM.
Ces semences sont aujourd'hui au cœur d'un des débats soulevés par la révision du règlement bio européen : cette méthode de sélection est-elle compatible avec la bio ?
Sur ce sujet des CMS, la FNAB et CohéFLor Bio appellent à une action collective pour réclamer aux semenciers et à l'INAO des informations claires et transparentes.
La FNAB a envoyé un courrier à l'INAO, avec copie au GNIS et au ministère de l'Agriculture. Chacun peut envoyer un courrier aux semenciers auprès desquels il se fournit pour demander si les semences qu'il achète ou qui sont utilisées pour ses plants sont issues d'une sélection CMS par fusion cellulaire et réclamer qu'une information systématique sur la nature CMS par fusion nucléaire ou non des semences soit indiquée sur leurs catalogues et sur la base de données semences-biologiques.org.
Un modèle de courrier est disponible ici.
Lettre de la FNAB adressée à l'INAO.
N'hésitez pas à tenir informés vos animateurs de GAB de vos démarches !
Caractéristiques : Sachets fruits et légumes kraft brun
Impression : recto en 3 couleurs : logo « Manger Bio et Local c'est l'Idéal »
(rose et jaune) + logos Eurofeuille / AB (vert) + site www.bioetlocal.org
Verso : mentions « Résistant à l'humidité » et « Fabriqué en France »
Fabriqués dans les Alpes-de-Haute-Provence
1 taille : 2 kg : 20 (largeur) x 6,5 (soufflet) x 31 (hauteur) cm - Épaisseur 45g/m²
Conditionnement : emballés sous film par 1 000 sacs.
Les tarifs de la commande groupée sont estimés à 14,04 € HT soit 16,85 € TTC les 1 000 sachets. Frais de livraison suivant les points et quantité.
Ils proposent aussi des sacs cabas en jute.
Caractéristiques des sacs
Dimensions : 40 cm (longueur x 15 cm (soufflet) x 30 cm (hauteur)
Cabas en toile de jute et coton, doublé plastique à l'intérieur et 2 anses courtes
Marquage 2 couleurs « bio et local, c'est l'idéal » sur une face
Vente par lot de 10 cabas
Bien qu'en baisse régulière dans l'assolement national en blé (en 2015 elle représentait 14% des cultures de blé tendre), et malgré une diversification de l'offre ces dernières années, Renan reste encore la 1e variété cultivée en AB. Le fait que cette variété soit tant utilisée 25 ans après son inscription au catalogue interroge sur l'investissement en recherche et en sélection pour une agriculture durable et en particulier pour l'AB.
Jusqu'à lors, lorsqu'un ou plusieurs composants de mélanges de semences fourragères étaient non bio, il fallait demander autant de dérogations que de composants non bio.
Nous avons travaillé au sein de l'INAO sur un système permettant de simplifier ce dispositif sans pour autant perdre sa crédibilité, en s'appuyant notamment sur des pratiques existant dans d'autres Etats Membres de l'UE.
Pour les semences fourragères, un opérateur peut désormais utiliser un mélange de semences AB-non AB sans demander de dérogation sous les conditions suivantes :
Pour plus d'information sur l'approvisionnement en semences, consulter l'annexe 1 du guide de lecture sur le site www.inao.gouv.fr.
- Chaque année, une analyse de sol sur un îlot cultural au moins pour une des trois principales cultures exploitées en zone vulnérable. L'analyse porte sur le Reliquat Azoté Sortie Hiver (grandes cultures) ou le taux de matière organique (vignes et cultures pérennes).
- Cette obligation ne s'applique pas aux exploitants n'ayant que des prairies de plus de 6 mois en zone vulnérable.
Espace test maraicher de Nevers:
Le lieu-test vous permet :
• de produire : du foncier et du matériel professionnel sont mis à votre disposition par la Ville de Nevers et le Conseil Départemental de la Nièvre
• de commercialiser et de bénéficier d'un N°SIRET, d'une assurance, d'un compte bancaire, d'un service de comptabilité.
• d'être accompagné(e) individuellement et collectivement :
- sur le développement commercial et la gestion de votre entreprise,
- sur votre pratique et l'adéquation entre votre projet de vie et votre projet professionnel.
Surfaces disponibles : 2,3 ha à partager entre les deux candidats.
Matériels : tracteur, motoculteur, chambre froide, bâtiment de stockage, serres froides de production d'environ 950 m2, matériel d'irrigation, vibroculteur ...
Date d'entrée AVRIL/MAI, date limite de candidature: 25 Janvier 2016
Télécharger la fiche descriptive ici ou contacter:
• Conseil Départemental de la Nièvre : Maxime ALBERT 03 86 60 58 74
maxime.albert@nievre.fr
• Ville de Nevers : Olivier FAGUET 03 86 68 43 04 / olivier.faguet@ville-nevers.fr
ADHERER AU RESEAU FNAB EN 2016:
Vous êtes adhérent(e) du réseau national des paysans et paysannes bio organisés. Une organisation syndicale à vocation professionnelle qui défend notre métier d'agrobiologiste et promeut le projet d'un développement cohérent et solidaire de ce mode de production. Votre adhésion a été déterminante pour la réussite de nos objectifs communs. Elle reste plus que jamais décisive en 2016.
La FNAB vous propose sa lettre syndicale qui reprend toutes les actions menées en 2015 et les objectifs pour 2016.
Le projet de la FNAB est de développer une agriculture biologique cohérente, durable et solidaire. À ce titre, le réseau FNAB accompagne depuis 15 ans les acteurs de la restauration collective, en suivant le principe « Bio & local, c'est l'idéal ! ».
Ce travail a permis de développer des outils pour les professionnels (marchés publics, formations du personnel, maitrise du budget, etc.) et également de structurer l'offre. Ainsi, environ 20 « plateformes » de producteurs bio livrent la restauration collective. Contrairement aux idées reçues, l'offre bio locale est organisée sur la plupart des territoires et en attente d'une demande plus importante et régulière ! En effet, suite aux objectifs ambitieux du Grenelle de l'Environnement (20% de produits bio en restauration publique en 2012), les producteurs bio se sont organisés.
Or, les résultats actuels sont décevants : la bio ne représente, début 2015, que 2,7% des achats de la restauration collective.
De ce fait, la FNAB se réjouit de la proposition de loi visant à favoriser l'ancrage territorial de l'alimentation, portée par Brigitte Allain et signée par l'ensemble du groupe écologiste (examinée jeudi 14 janvier en séance publique à l'Assemblée Nationale). En effet, celle-ci prévoit de contraindre les restaurants collectifs publics (État et collectivités territoriales) à se fournir à hauteur de « 40% en produits durables (locaux, bio, de qualité) », « dont 20% de produits bio » d'ici 2020.
Pour aller plus loin :
Retrouvez le dossier législatif ici
Retrouvez la proposition de loi ici
Retrouvez l'infographie qui explique la loi en quelques mots, en cliquant ici
Citoyens, signez la pétition d'Agir Pour l'Environnement
Des travaux en atelier ont été mené le matin du 2 décembre. Voici ci-dessous ce qui ressort de l'Atelier n°1 – Notre dimension syndicale à l'aune des enjeux européens
Les objectifs de cet atelier étaient d'évoquer le travail effectué au niveau européen au cours de l'année passée par le réseau FNAB et de faire émerger des idées concrètes pour que tous les échelons du réseau « fassent Europe » et s'investissent davantage sur les questions européennes. C'est dans une dynamique très positive que se sont déroulés les débats et que ces objectifs ont été atteints !
Le groupe Europe du réseau FNAB a été renforcé de cinq nouveaux membres, des propositions ont été faites pour que la communication entre GAB, GRAB et FNAB sur ces questions européennes soit améliorée et l'Intranet va être enrichi d'une rubrique Europe. Les participants ont mis l'accent sur le besoin d'informer les producteurs pour que l'investissement syndical européen du réseau ait un sens pour eux. Les pistes explorées seront mises en place pour répondre aux attentes des producteurs, alimenter les réflexions et favoriser leur participation.
Accédez au compte-rendu de l'atelier
La télédéclaration pour les demandes d'aides animales 2016 est ouverte :
- Aides ovines et caprines : vous avez jusqu'au 1er février pour faire vos demandes.
- Aides bovines : vous avez jusqu'au 17 mai inclus.
Les éleveurs situés en zones vulnérables aux nitrates « historiques » (classées antérieurement à 2012), dont le projet de mise aux normes n'est pas éligible aux aides du second pilier de la PAC, peuvent bénéficier d'un soutien relevant du régime des aides de minimis agricole pour mettre aux normes leurs bâtiments d'élevage.
La date limite de dépôt des dossiers dans votre DDT est fixée au vendredi 29 janvier 2016.
Vous avez reçu par mail les documents suivants :
- le communiqué de presse
- le formulaire de demande
- La notice explicative
- la liste des communes de la Bourgogne en zone vulnérable historique (avant 2012)
-Une annexe qui précise les pièces minimales à fournir avec la demande
Si ce n'est pas le cas, vous pouvez contacter votre DDT ou votre animateur de GAB.
Le travail du Comité de Pilotage restructuration entre dans sa dernière phase.
Les modalités d'évolution du SEDARB en un GRAB (Groupement Régional d'Agriculture Biologique), et la dévolution des missions de la CGAB à la nouvelle structure ont été définies et le calendrier des étapes fixé.
Les projets de statuts du futur GRAB ont été soumis le 10 décembre à l'approbation des deux C.A. (CGAB et SEDARB). Ils ont été validés par les administrateurs après relecture, discussions et amendements.
La rédaction du Règlement Intérieur est en cours. Le choix définitif du nom reste ouvert. Les propositions sont les bienvenues.
Le Copil a donc pour l'essentiel achevé son travail en vue de proposer un projet abouti susceptible d'être soumis lors des prochaines AG départementales à l'approbation des adhérents du réseau. Un calendrier des étapes clés du processus sera communiqué prochainement.
La CGAB a sollicité de nombreuses fois la DRAAF et le Conseil régional au sujet des aides de soutien à l'agriculture biologique. La dernière réponse du DRAAF (télécharger le courrier ici) ne donne pas d'éléments satisfaisants concernant la date de versement des aides bio et le montant global de celles-ci.
La CGAB sollicitera de nouveau les responsables dés le début de l'année 2016 en espérant obtenir satisfaction.
Nous avons le plaisir de vous informer du choix, parmi plusieurs candidat(e)s, de notre nouveau directeur, Monsieur Laurent BARLE. Salarié du SEDARB depuis 15 ans, il occupait jusqu'à présent le poste de coordinateur du pôle élevage de notre service.
Laurent BARLE a été nommé à la direction le vendredi 13 novembre. Vous pouvez le contacter par téléphone au 03 86 72 92 20.
Cyril WAY, apiculteur et responsable professionnel apiculture à la FNAB, nous invite à diffuser nos adhérents le message suivant :
La demande soutenue en cire utilisable en agriculture biologique face à un manque d'offre entraîne des risques potentiels ou avérés sur la qualité des approvisionnements de cire des apiculteurs bio. Compte tenu des enjeux pour nos exploitations, la FNAB a décidé de lancer une procédure d'alerte préventive au sein de son réseau :
nous vous proposons d'y collaborer en renseignant un questionnaire en ligne. Vos réponses sont importantes et nous permettront de vous prévenir et de vous donner la marche à suivre si vous êtes concernés par un éventuel problème. Aucune des données que vous nous communiquerez ne sera transmise à qui que ce soit, elles ne seront utilisées que pour identifier et prévenir ceux d'entre nous qui sont potentiellement concernés.
A voir en rediffusion, le film "Le veau la vache et le territoire", réalisé par Patrice GÉRARD à la ferme de Stéphanie PAGEOT, présidente de la FNAB en rediffusion en suivant ce lien : http://pluzz.francetv.fr/videos/le_veau_la_vache_et_le_territoire_,132096650.html .
Ce film illustre les pratiques des éleveurs laitiers en biodynamie.
La FNAB a appris début novembre que le ministre de l'Agriculture Stéphane LE FOLL conviait les seuls représentants de l'Union française des semenciers «pour évoquer le cadre réglementaire (...) [concernant les nouvelles techniques de modification génétique]
afin de peser dans les choix européens». En concertation avec d'autres organisations de développement agricole et de protection de l'environnement, la FNAB a réagi vivement en adressant une demande de rendez-vous au ministre afin que la voix de l'industrie semencière ne soit pas la seule à être entendue sur ce sujet lourd d'enjeux. Il va en effet s'agir pour la Commission européenne, sous l'égide de la présidence néerlandaise, de déterminer au cours des prochaines semaines si les nouvelles techniques de modification génétique des plantes produisent ou non des OGM. Pour la FNAB et ses partenaires, la réponse est sans ambigüité : ces nouvelles techniques produisent des OGM ou des produits issus d'OGM rentrant dans le champ d'application de la directive 2001/18.
Le cuisinier formateur de la FNAB Pascal VEAULIN a partagé son expérience avec les 9 stagiaires et leur a montré comment concocté de savoureux plats, équilibrés et inventifs à base de produits bio. Un repas 100% bio et végétarien a ainsi été préparé par les participants.
Retrouvez ici l'article de l'Yonne Républicaine sur cette formation.
Les Journées d'automne du réseau FNAB auront lieu les 2 et 3 décembre en Auvergne à Sainte-Bauzire sur le thème: «Avec la réforme territoriale, faire réseau et mouvement d'agrobiologistes pour un nouveau développement de l'agriculture biologique ».
L'objectif de mobilisation est le même que l'an passé à Sète : faire venir de nouveaux producteurs !
► Consultez le programme de synthèse et le programme détaillé
► Inscription en ligne: http://goo.gl/forms/1gbqTM66WE
Cette année, le GABSeL et le réseau bio de Bourgogne vous invitent à participer aux Rencontres d'Automne organisées dans tout le département.
8 dates vous sont proposées pour vous permettre d'échanger sur 4 thèmes de discussions en lien avec vos préoccupations. Téléchargez le programme ici.
Ces rencontres sont ouvertes à tous les producteurs bio mais aussi à tous les porteurs de projets.
Inscrivez vous via le coupon-réponse et apportez de quoi partager un repas avec les participants.
N'hésitez pas à contacter votre animatrice pour tous renseignements:
ADOIR Aurélie Tél: 06 33 35 37 48 gabsel@biobourgogne.org
De plus en plus d'agriculteurs s'associent pour mettre en place des projets collectifs et demandent à être reconnu GIEE.
Un GIEE : qu'est-ce que c'est ?
Les GIEE, Groupements d'intérêt économique et environnemental (GIEE) permettent une reconnaissance officielle par l'Etat de l'engagement collectif d'agriculteurs dans la modification ou la consolidation de leurs pratiques en visant une performance économique, environnementale et sociale. Ils constituent l'un des outils structurants du projet agro-écologique pour la France.
Quels sont les avantages d'être reconnu GIEE ?
Cette reconnaissance permet notamment aux agriculteurs participants de bénéficier de bonifications des aides à l'investissement (matériel, bâtiments d'élevage) et de priorisation sur les critères d'attribution de ces mêmes aides, notamment pour des investissements liés au développement de l'agriculture biologique. D'autres actions prévues dans un projet reconnu dans le cadre d'un GIEE peuvent bénéficier de financements spécifiques ou d'une attribution préférentielle des aides.
Comment un projet est reconnu GIEE ?
La reconnaissance en qualité de GIEE se fait sur la base d'appels à projets organisés par le préfet de région. Le dossier de candidature doit être déposé à la DRAAF.
Qui peut candidater ?
Tout collectif doté d'une personnalité morale, dans laquelle les agriculteurs impliqués dans le projet détiennent ensemble la majorité des voix au sein des instances de décision, peut prétendre à la reconnaissance de son projet. La démarche doit venir des agriculteurs eux-mêmes en associant plusieurs exploitations sur un territoire cohérent. Ce collectif peut réaliser lui-même l'animation de son projet ou conventionner l'animation auprès d'une structure compétente en matière de développement agricole et rural.
Vous souhaitez en savoir plus ?
Vous avez déjà un projet de GIEE pour lequel vous souhaiteriez bénéficier d'un accompagnement ?
Le SEDARB organise une formation sur ce thème en février 2016 avec au programme :
- Qu'est-ce qu'un GIEE ?
- Comment le mettre en place ?
L'accord bilatéral avec l'Italie vient d'être signé. Les dérogations négociées pour l'envoi de bovins et ovins issus de la zone réglementée sont :
- Animaux de plus de 90 jours : vaccinés avec respect d'un délai de 10 jours après la deuxième injection ;
- Animaux de moins de 90 jours : nés de mères vaccinées ;
- Sous-réserve pour les animaux de moins de 90 jours : PCR négative si provenance d'une zone reconnue saisonnièrement indemne (PCR 14 jours après le début de la période d'inactivité vectorielle).
Sur avis de la section spécialisée élevage réunie le 13 octobre, le CA de la CGAB, réuni le 15 octobre, réaffirme la position suivante :
- N'ayant pas d'effet réel démontré sur les culicoïdes (vecteurs de la maladie) et source de pollution importante, la CGAB considère que la désinsectisation chimique doit être refusée.
- N'ayant pas d'intérêt général, la CGAB refuse l'obligation vaccinale en dehors des nécessités commerciales actuelles (animaux qui doivent partir à l'export).
- Le statut de la maladie doit être reconsidéré. Elle ne peut être classée en « maladie transmissible » (contagieuse) alors qu'il s'agit d'une maladie vectorielle.
Dans un communiqué de presse du 15 octobre dernier, le Ministre de l'Agriculture a annoncé la fusion des zones réglementées ainsi que la négociation avec l'Espagne et l'Italie qui autoriserait la sortie des animaux vaccinés 10 jours après leur rappel.
Ce communiqué ne précise pas encore la levée des périmètres interdits, ni les conditions de circulation des bovins en France.
Suite à cette annonce du ministre de fusionner les zones réglementées, le préfet de Saône-et-Loire a levé le périmètre interdit de ce département. Pour en savoir plus.
Les levées de périmètre d'interdiction devraient suivre dans les autres départements concernés.
Maladie virale non contagieuse, la FCO est transmise d'un animal infecté à un autre par piqûre de moucherons du genre Culicoïdes. Elle peut toucher tous les ruminants, domestiques et sauvages. Maladie strictement animale, la FCO n'affecte pas l'Homme et n'a aucune incidence sur la qualité des denrées. Provoquant des retards de croissance chez les animaux malades, la mort de certains animaux et des avortements chez les femelles infectées, cette pathologie engendre des pertes économiques pour les éleveurs. Les mesures de lutte, désinsectisation et vaccination, représentent également un coût élevé et sont controversées par de nombreux éleveurs en bio. De plus, sur les élevages où les animaux sont destinés à la vente en vif et à l'export, ceux-ci se retrouvent bloqués, entraînant des surcoûts importants en cette année de déficit fourrager.
Des outils de communication sont encore disponibles :
Dans le contexte actuel de sécheresse prolongée, certains d'entre vous ont déjà bien entamé leurs stocks fourragers pour nourrir leurs animaux.
Le SEDARB vous propose, dans le cadre de sa bourse d'échanges, de recenser vos besoins et les fourrages qui pourraient être disponibles dans le réseau bio bourguignon.
Vous trouverez ci-joint le modèle de tableau à compléter : si vous souhaitez diffuser une annonce, merci de me transmettre tous les éléments nécessaires par mail.
N'oubliez pas : quand votre annonce n'est plus valable, prévenez moi afin que je la retire de notre site Internet. Cela vous évitera de recevoir des appels inutiles !
Le fichier sera actualisé chaque jour si nécessaire sur notre page Internet :
http://www.biobourgogne.fr/bourse-aux-fourrages-de-bourgogne_241.php
Il vous sera également transmis une fois par semaine par mail.
Pour rappel, la bourse d'échanges des éleveurs bio de Bourgogne est là pour vous permettre de vendre ou d'acheter des fourrages mais également des effluents d'élevage, de la paille, des animaux, des grains, etc... (dans la limite de la réglementation). La diffusion des annonces est gratuite.
Du fait du report des dates de déclarations PAC en 2015, il ne sera pas possible pour l'Etat de verser des acomptes sur les aides PAC en octobre.
Afin de pallier aux difficultés de trésorerie que cela va entraîner, l'Etat propose un apport de trésorerie dont il prendra les intérêts en charge dans le respect du régime des aides de minimis (plafond d'aide de 15 000 € sur 3 ans). A noter le crédit d'impôt bio et l'aide à la qualification AB entrent dans ce dispositif.
Mise en oeuvre :
- Le formulaire de demande est téléchargeable sur TELEPAC
- Il devra être déposé en DDT avant le 20 août 2015.
- Courant octobre : versement de l'apport de trésorerie (environ 50 % des aides PAC reçues en 2014)
- Mi-décembre : versement du solde des aides PAC (apport de trésorerie remboursé automatiquement par déduction sur les aides PAC).
Quels projets ?
Les actions prévues devront répondre aux enjeux économiques, environnementaux et sociaux du territoire où sont situées les exploitations concernées.
Elles devront permettre d'améliorer ou de consolider les pratiques agricoles. L'évolution des systèmes de production envisagée devra contribuer à améliorer la compétitivité des exploitations agricoles tout en utilisant et préservant les écosystèmes sur lesquels s'appuie l'activité agricole.
Qui peut candidater ?
Tout collectif doté d'une personnalité morale, dans laquelle les agriculteurs impliqués dans le projet détiennent ensemble la majorité des voix au sein des instances de décision, peut prétendre à la reconnaissance de son projet.
La démarche doit venir des agriculteurs eux-mêmes en associant plusieurs exploitations sur un territoire cohérent.
Ce collectif peut réaliser lui-même l'animation de son projet ou conventionner l'animation auprès d'une structure compétente en matière de développement agricole et rural.
Comment candidater ?
Pour en savoir plus et télécharger le dossier de candidature, rendez-vous sur le site Internet de la DRAAF : http://draaf.bourgogne.agriculture.gouv.fr/GIEE.
Nouvelle lettre fillière FNAB sur l'apiculture biologique
Dans la continuité des lettres filières déjà sorties, la FNAB a lancé en juin sa première lettre d'information sur l'apiculture bio. Vous y retrouverez donc les dernières informations du secteur, des conseils, interviews, les modifications éventuelles apportées à la réglementation, etc.
Consultez la nouvelle lettre fillière apiculture.
Pour vous abonner aux lettres filières FNAB, c'est ici.
Le 20 mai le Préfet de la Nièvre, Jean-Pierre Condemine visitait la Ferme du GAEC d'Ecosse à Bazoches, en présence des représentants des Services de l'Etat, du Président de la Chambre d'Agriculture, et d'élus locaux.
Le GABNi était représenté par plusieurs de ses administrateurs qui ont pu faire valoir l'intérêt du mode de production biologique et les conditions nécessaires à la réussite du développement de l'agriculture biologique.
Stéphane LE FOLL, Ministre de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt, Porte-parole du gouvernement, a annoncé le report de la date limite de dépôt des dossiers PAC au 15 juin 2015.
Ici le communiqué de presse du ministère.
Nous restons à votre disposition pour tout complément d'information.
À l'issue d'une ultime réunion, et après plus d'un an de discussions, les services de l'Etat et le Conseil Régional de Bourgogne en qualité d'autorité de gestion, ont annoncé les montants finalement retenus dans notre région pour les aides bio : aides à la conversion et au maintien.
Le réseau FNAB a tenu son assemblée générale les 8 et 9 avril 2015 à Dunkerque en partenariat avec son groupement régional, le GABNOR. Des délégués venus de la France entière pour deux jours de travail sur le thème du développement territorial de l'agriculture biologique, dans le contexte notamment de la réforme territoriale.
Une ambition bio : réussir la transition écologique des territoires
Le colloque public de l'AG de la FNAB s'est tenu le jeudi 9 avril 2015. Il a été l'occasion de présenter les enjeux de la transition écologique et sociale des territoires avec un focus sur la région Nord Pas de Calais, engagée dans une troisième révolution industrielle. Séverine Romanowski, directrice du GABNOR, a présenté l'étude prospective du MEDDE et Dominique Hays, administrateur du GABNOR, est revenu sur la stratégie de la région et la contribution de l'agriculture biologique à cette vision d'avenir du territoire.
(cliquez ici pour visionner le colloque en intégralité)
Un échange franc et constructif entre le ministre de l'Agriculture et le réseau FNAB
Une table ronde composée de producteurs bio du réseau FNAB a permis de présenter au ministre les actions territoriales du réseau FNAB pour la protection des zones à enjeux eau et la structuration de filières locales durables, pour la sensibilisation et l'accompagnement des producteurs conventionnels vers la conversion bio en partenariat avec d'autres réseaux, pour l'accessibilité des produits bio via les circuits de proximité à dimension sociale et l'accompagnement des familles à « alimentation positive ».
(cliquez ici pour visionner le discours de Stéphane le Foll)
Une vigilance partagée pour l'accompagnement de la nouvelle dynamique des conversions:
Stéphanie Pageot, présidente de la FNAB a salué la venue du ministre à l'assemblée général des producteurs bio, un choix politique de reconnaissance. Elle a par ailleurs rappelé le souhait de la FNAB de repartir sur des bases solides de dialogue avec le ministère dès lors que les producteurs bio auront « touchés leur du des aides 2014 sans nouvelles démarches administratives ». La présidente de la FNAB a affirmé haut et fort la nécessité d'atteindre au moins le doublement des surfaces en bio d'ici fin 2017 en assurant les moyens pour la conversion et en rendant accessible, partout et pour tous, des aides « maintien » reconnaissance des services environnementaux et sociaux rendus par les producteurs bio. :« Elles doivent permettre de rémunérer les services que nous rendons dans l'intérêt général, à savoir la protection de l'eau des pollutions diffuses (pas de pesticides, pas d'engrais azotés de synthèse), la réduction des GES, la protection de la biodiversité cultivée et sauvage, l'entretien et le développement des infrastructures écologiques (haies, fossés, mares, prairies permanentes…), la protection du citoyen de la pollution de l'air par les pesticides, la création d'emplois non délocalisables (+ 60% en bio) et enfin la fourniture de produits de haute qualité nutritionnelle et gustative… ». En ce sens, la FNAB a proposé les régions comptant de nombreux producteurs bio, la disponibilité de l'aide de reconnaissance soit rendue possible par une dose de dégressivité et aussi de bonification par le nombre d'UTH.
(cliquez ici pour visionner le discours de Stéphanie PAGEOT)
Suite à des contacts avec les DDT de Bourgogne, nous vous conseillons de vous certifier en bio avant le 15 mai 2015.
En effet, les dates de dépôt de dossiers PAC sont reportées jusqu'au 9 juin, cependant, pour simplifier vos demandes d'aides ultérieures nous vous incitons à vous engager auprès de votre Organisme Certificateur avant le 15 mai prochain.
Cependant, développer l'engraissement n'est pas sans conséquence sur le fonctionnement de l'exploitation et des craintes de nature variée peuvent se poser : autonomie alimentaire, trésorerie, temps de travail, places en bâtiment, visibilité et stabilité à long terme des débouchés,…
Le SEDARB lance une étude afin de réaliser un état des lieux de la commercialisation des bovins allaitants issus des exploitations bio de Bourgogne, déterminer les freins et marges de manœuvre des éleveurs vis à vis de l'engraissement, et caractériser la demande des opérateurs de la filière. Pour cela, Céline Bouchage, étudiante à l'école d'Agronomie de Montpellier, est accueillie au sein du SEDARB d'avril à août afin de travailler sur cette question dans le cadre de son stage de fin d'études.
Anne Claude LEFLAIVE nous a quitté le 5 avril 2015. Cette pionnière de la biodynamie, de Puligny-Montrachet, a porté haut et fort les valeurs des vins bio de Bourgogne à travers le monde.
Elle a partagé et transmis son amour de la nature et ses connaissances au plus grand nombre, notamment en créant l'Ecole du Vin et des Terroirs.
Nous la remercions pour son investissement au sein du réseau bio et biodynamique.
Nos pensées accompagnent sa famille et ses proches dans cette épreuve.
Les producteurs bio et l'équipe du SEDARB.
Avis d'appel à candidatures 2015 pour le Plan de Compétitivité et d'Adaptation des Exploitations en Bourgogne :
Investissements dans les bâtiments d'élevage :
-Modernisation classique
-Gestion des effluents en zone vulnérable
-Maîtrise de la performance énergétique
Investissements productifs en faveur d'une agriculture durable
Investissements dans la transformation et la commercialisation dans les exploitations agricoles
Pour cet appel à candidatures et pour ces cinq aides, la date limite de dépôt des dossiers de demande d'aide auprès de la DDT de votre département est fixée au vendredi 29 mai 2015.
RAPPEL:
- Quelle que soit l'aide sollicitée, l'investissement ne doit pas avoir été réalisé ou commandé avant d'avoir reçu un accusé de réception complet ;
- Les dossiers retenus seront classés selon les critères de priorité régionaux et engagés
dans la limite des disponibilités financières des différents financeurs ;
- Un deuxième appel à candidatures sera organisé pour l'année 2015, en août 2015
Vos contact en DDT par département:
-DDT Côte d'Or:
www.cote-d-or.equipement-agriculture.gouv.fr
Samuel MICHAUT - Tel : 03 80 29 42 09
Mel : samuel.michaut@cote-dor.agriculture.gouv.fr
-DDT Nièvre -
www.nievre.gouv.fr
Gilles le VEE - Tel : 03 86 71 52 52
Mel : gilles.le-vee@nievre.gouv.fr
Marie-Laure VASSAL - 03 86 71 52 88
Mel: marie-laure.vassal@nievre.gouv.fr
Mel institutionnel : ddt-sea@nievre.gouv.fr
-DDT Saône-et-Loire -
http://www.saone-et-loire.gouv.fr
Unité projet d'exploitation - Tel : 03 85 21 86 23
Mel : ddt-ecoagri@saone-et-loire.gouv.fr
-DDT Yonne -
http://www.yonne.gouv.fr/Politiques-publiques/Agriculture/Agro-environnement/Aidesauxinvestissements
Christophe ZUNINO - Tel : 03 86 48 42 85
Mel : ddt-sea@yonne.gouv.fr
Hier, au lendemain de la mobilisation nationale, Stéphanie Pageot présidente de la FNAB a été reçue au Ministère pour relayer l'indignation des agriculteurs bio face à l'amputation sans préavis des aides maintien 2014 de 25%, et pour exprimer l'inquiétude du réseau concernant le volume des aides conversion et maintien pour les 5 années à venir et qu'il juge insuffisant.
J+1 après la manifestation!!
Nous étions hier près de 300 rassemblés devant le Conseil Régional pour dire notre insatisfaction et obtenir pour l'agriculture biologique la reconnaissance et les moyens qu'elle mérite. Du nord de l'Yonne au sud de la Saône et Loire, les agrobiologistes de Bourgogne ont largement répondu à l'appel à manifester, avec à leurs côtés associations, syndicats, citoyens, consommateurs venus nous soutenir. La presse était aussi au rendez-vous…
Cela ne s'était jamais vu encore en Bourgogne, et nous pouvons en être fiers et heureux.
Tout n'est pas joué, rien n'est encore gagné, mais, hier, tous ensemble, nous avons (peut-être) fait bouger les lignes.
Alors que le financement des aides bio pour les cinq prochaines années devait se traiter dans une réunion en petit comité, présentation et débats se sont tenus ouvertement dans la salle plénière du Conseil Régional pleine à craquer, certains ne pouvaient y rentrer !
Les paysans ont parlé, fort ; ils ont remis à leurs justes places la complexité des dispositifs, la finasserie des arbitrages, les appels au « réalisme » et les déclarations de bonnes intentions ; ils ont demandé des réponses et des engagements clairs sur le seul terrain qui vaille, celui de la volonté politique et des crédits conséquents.
Hier, nous avons montré notre détermination, dénoncé les solutions à court terme et refusé les « arrangements » proposés de discriminations et priorisations entre anciens et nouveaux. Nous avons réaffirmé que la bio devait être accessible partout et pour tous ceux qui veulent mettre en œuvre ses pratiques. Qu'une forte vague de conversions s'annonce, félicitons nous et faisons en sorte qu'elles soient durables…
La mobilisation d'hier devrait permettre à nos représentants de mieux peser pour plus d'égalité et de reconnaissance lors du prochain groupe de travail, de nouveaux scénarios devraient nous être proposés et nous y réagirons !
Nous vous en tiendrons informés bien sûr, dans les Nouvelles de la bio, auprès de vos GAB et lors de l'AG de la CGAB le 31 mars prochain !
Merci à tous ceux qui ont signé la pétition : 3 500 signatures en quelques jours ! il n'est pas trop tard pour bien faire encore…
Merci à tous ceux qui sont venus, à ceux qui ont contribué à l'évènement et nous ont soutenus!
On en parle:
http://www.bienpublic.com/edition-dijon-ville/2015/02/17/les-agriculteurs-bio-manifestent-a-dijon
http://www.citizenside.com/fr/photos/politique/2015-02-17/108344/dijon-manifestation-des-agriculteurs-bio.html#f=0/1155883
http://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne/2015/02/16/dijon-les-agriculteurs-bio-de-bourgogne-demandent-une-repartition-equitable-des-aides-656733.html
http://www.bienpublic.com/edition-dijon-ville/2015/02/09/baisse-des-aides-les-agriculteurs-bio-manifestent
Reportage sur France3 Bourgogne:
https://www.youtube.com/watch?v=XLKF2ANIZME
Dans la presse :
Suite aux problématiques que vous rencontrez en ce moment concernant les Aides PAC bio, la CGAB a engagé des démarches de soutien et de défense de vos intérêts.
Un courrier (cliquez ici pour voir le courrier) a été envoyé à la DRAAF ainsi qu' aux DDT des 4 départements.
Le versement du solde devrait se faire fin mars d'après les DDT.
En ce qui concerne le reclassement de certaines surfaces de prairies temporaires, nous souhaitons faire le point sur les personnes concernées afin d'étudier des démarches possibles.
Merci, à ceux qui ne l'ont pas encore fait, de contacter votre animateur ou animatrice de GAB, pour faire connaitre votre situation.
Le mardi 17 février à partir de 9h
devant le Conseil Régional de Bourgogne à DIJON
Venez nombreux soutenir les agriculteurs bio de Bourgogne
0% pesticides, 0% OGM, 0% reconnaissance :
Nous demandons des aides légitimes pour la bio!
Ambition Bio 2017 vise à doubler la surface agricole bio d'ici à 2017 ! Pour cela, des aides incitatives pour les agriculteurs s'engageant en bio (la conversion) et des aides au maintien des pratiques bio ont été prévues MAIS en réalité, cette enveloppe destinée à l'agriculture bio par l'Etat a été largement sous dotée et ne peut permettre d'atteindre les objectifs fixés !
Et en Bourgogne ?
Aujourd'hui plus de 900 fermes bio et plus de 46 000 hectares en bio ou en conversion, 7 000 hectares devraient entrer en bio chaque année. Une bonne nouvelle pour l'environnement et les consommateurs MAIS le choix retenu par les autorités bourguignonnes prévoit d'aider 4 000 ha par an, loin des 7 000 annoncés… sans parler des aides au maintien qui ne pourront être réellement financées !
En 2015, la fin des aides au maintien ?
L'enveloppe prévue pour les agriculteurs bio ne sera pas suffisante pour les conversions et la seule aide de reconnaissance pour l'agriculture biologique - appelée l'aide au maintien - risque d'être supprimée pour la plupart des producteurs bio.
L'agriculture bio, sans aucune mesure plus vertueuse, doit être aidée à la hauteur des bénéfices qu'elle apporte.
La bio PARTOUT et pour TOUS ceux qui l'ont choisi !
Les agriculteurs bio, qu'ils soient anciens ou récemment engagés, restent solidaires et déterminés. Pas de discriminations !
Pour nous, les aides bio - à la conversion et au maintien - doivent être accordées à TOUS et PARTOUT !
Téléchargez ici le communiqué de presse
Un GIEE, qu'est-ce que c'est ?
Les Groupements d'Intérêt Economique et Environnemental sont des collectifs d'agriculteurs associant, le cas échéant, d'autres partenaires qui s'engagent ensemble dans un projet pluriannuel de modification ou de consolidation de leurs pratiques en visant à la fois des objectifs économiques, environnementaux et sociaux. Ils seront reconnus « GIEE » par arrêté du préfet de région, pour la durée de leur projet.
La reconnaissance « GIEE » de ces groupements leur permettra de bénéficier pour leur projet de taux majorés ou d'accès prioritaires à une grande partie des aides FEADER du PDR Bourgogne 2014-2020.
2015 est l'année d'entrée en application de la réforme des aides directes de la PAC. Jusqu'en 2014, l'aide découplée prenait la forme du Droit à Paiement Unique (DPU) et sera demain composée de trois parties :
Pour pouvoir bénéficier de DPB en 2015, chaque agriculteur devra détenir un "ticket d'entrée". Ce "ticket d'entrée" est obtenu par un agriculteur s'il remplit l'une des conditions suivantes et permet à des agriculteurs qui n'avaient pas de DPU de percevoir des aides PAC :
OU
OU
OU
Donc, a priori, le résultat ne devrait pas être biaisé du fait que beaucoup de bio soient enquêtés.
Nous vous rappelons que, même en AB, vous êtes tenus d'accepter cette enquête et de présenter les documents demandés (plan de fumure, cahier de fertilisation...).
Des démarches ont été entreprises par chaque GAB auprès des DDT pour connaître l'état d'avancement de l'instruction des dossiers : le solde des aides bio ne pourra être payé que lorsque l'instruction sera terminée au niveau national, nous ne pouvons vous donner de date précise de paiement pour l'instant.
Concernant le reclassement des prairies temporaires en PT+5, continuez à solliciter vos animateurs de GAB pour les informer de votre situation (surfaces déclassées et pertes d'aides) et bénéficier d'un appui individuel si besoin. La CGAB rédige actuellement un courrier à la DRAAF à ce sujet et nous avons besoin de données précises pour vous défendre.
Pour ce qui est de la poursuite des aides au maintien de l'AB, une manifestation se prépare pour le 17 février, nous vous tiendrons très bientôt informés et comptons sur votre mobilisation à tous !
Il n'y pas aucun changement : ni sur les modalités d'application, ni sur l'articulation avec les aides bio, ni sur le caractère de minimis de ce dispositif fiscal, etc...
Le formulaire 2015 est d'ores et déjà disponible ici.
Le nouveau formulaire de demande d'aide à la qualification en Agriculture Biologique vient de paraître. Le dossier doit être déposé avant le 1er mars ou le 1er juillet.
Cette aide concerne les exploitations conduites à 100 % en bio (conversion ou certifiée) et produisant des légumes, des fruits, des PPAM, du miel ou pratiquant la transformation à la ferme notamment en légumes, lait ou viande.
Elle représente 80 % du coût effectif de la certification.
Nota Bene 1 : cette aide fait partie du dispositif des aides de minimis limitées à 15 000 € sur l'exercice en cours et les deux précédents.
Nota Bene 2 : vous ne devez en aucun cas payer votre organisme certificateur avant de déposer votre dossier de demande d'aide sous peine d'être inéligible.
Le GABY vous propose de participer à une émission de radio sur France Bleu Auxerre : les Experts.
Il s'agit d'un entretien en direct (environ 15/20 min) avec le journaliste de l'émission. Le sujet doit être grand public et les auditeurs ont la possibilité d'appeler pour poser des questions.
Le prochain créneau réservé au GABY est prévu le lundi 23 mars à 9 h.
L'Observatoire de l'Agriculture Biologique en Bourgogne (ORAB) vient de paraître. Il a été établi à partir des chiffres de la fin de l'année 2013.
La Bourgogne maintient sa 9ème place au rang national et malgré un contexte difficile, a augmenté sa surface cultivée en bio de 2%.
Retrouvez le détail des chiffres par départements et par filières en téléchargeant la brochure complète ici.
L'instruction des dossiers PAC dans le cadre du plan FEAGA a fait prendre beaucoup de retard sur l'instruction des aides SAB. Par ailleurs, les DDT assistent à une augmentation significative du nombre de dossiers à traiter du fait de la fin de la MAE CAB (2ème pilier). Le MAAF n'est donc pas encore en mesure de fixer le coefficient stabilisateur national pour le financement de ces aides. C'est pour quoi aucun dossier SAB-M ou SAB-C n'a pu être payé à ce jour. Afin de permettre toutefois un paiement aux agriculteurs en décembre, il a été décidé que le 4ème train de paiement, donnant lieu à des versements sur les comptes des agriculteurs à partir du 18 décembre, intègre un acompte de 50 % des aides SAB conversion et maintien sur la base des montants unitaires initiaux. Les soldes seront versés en début d'année 2015 au regard d'un état d'instruction des dossiers plus stabilisé permettant de fixer les éventuels stabilisateurs.
Cette formation de 5 jours a permis à 5 d'entre-vous de créer leur propre site internet, en fonction de leurs besoins et leurs envies. Leurs sites sont maintenant en ligne et accessibles à tous les internautes. Si vous voulez avoir un aperçu de ce qu'on peut faire soi-même en 5 jours de formation, vous pouvez visiter les créations de vos collègues en cliquant sur les liens ci-dessous :
http://lesoeufsbiodespetitsbois.fr/
http://lafermeauxcailloux-legumes-bio.fr/
http://letrousso.fr/
http://www.visitealafermebiocotedor.fr/
https://www.leschatsferresviandebio89.fr/
Chaque producteur a maintenant toutes les clés en main pour faire vivre son site et assurer son devenir.
Si vous êtes intéressées, vous le nous savoir rapidement pour qu'on l'on puisse organiser une session en fonction de vos disponibilités (date et lieu) et des disponibilités de la formatrice.
Les Assemblées Générales des Groupements d'AgroBiologistes de Bourgogne se tiendront :
Plus d'informations dans les invitations qui vous parviendront en début d'année prochaine.
Ça y est, la collecte de fond pour le lieu test de Mézilles est close. Nous avons dépassé notre objectif et collecté 2 860 € grâce à vous ! Merci pour votre contribution au développement du maraîchage biologique dans l'Yonne. Nous allons pouvoir équipé le site d'un système d'irrigation, d'une motteuse pour les semis et de toile de paillage pour limiter le désherbage manuel. Nos maraîchers à l'essai vont enfin pouvoir se tester dans de bonnes conditions !
Vous remerciant encore chaleureusement, biologiquement, Le GABY
Pour répondre à un problème d'approvisionnement, le ministère de l'Agriculture vient d'autoriser pour 2014-2015 une nouvelle dérogation à la norme carie pour les semences de blé tendre non traitées destinées à l'agriculture bio. Cette norme est de zéro spore de carie (Tilletia sp.).
Afin que cette dérogation exceptionnelle n'entraîne pas de risques trop importants, elle est passée à 20 spores par gramme pour la campagne 2014-2015 (au lieu de 100 spores pour la campagne précédente).
Les lots de semences certifiées utilisant cette dérogation porteront la mention «présence maximale de 20 spores de Tilletia sp. par gramme » sur l'étiquette de certification. Les lots de semences certifiées indemnes de carie ne comporteront pas cette indication.
Attention, la carie est un champignon qui se développe principalement sur blé, et dont le pouvoir de contamination et la persistance dans le sol sont très élevés.
Des mesures préventives (surveillance au champ et analyse des lots destinés à être utilisés en semence) doivent être mis en œuvre. En cas de présence de grains contaminés, ne surtout pas réutiliser en semence de ferme.
Plus d'informations techniques : Echo des Champs n°25
En France, autour de 600 fermes bio sont concernées par l'attache des bovins, et doivent donc obtenir auprès de l'INAO une dérogation, l'attache étant interdite en bio. En Bourgogne, vous êtes plusieurs à être concernés.
La seule dérogation existante depuis décembre 2013, prévue à l'article 39 du règlement CE n°889/2008, concerne les élevages de petite taille et prévoit de sortir les animaux dans des espaces de plein air au moins 2 fois par semaine en période hivernale.
Pour 2014, un formulaire de demande de dérogation au titre de la flexibilité a été envoyé à chaque éleveur concerné par l'INAO, via les organismes certificateurs. Un grand nombre d'avis défavorables a été donné par l'INAO, essentiellement en raison de la non sortie effective des animaux deux fois par semaine en hiver. Le critère d'exploitation de petite taille n'a, à priori, posé de problème à personne.
Que ceux qui auraient reçu un avis défavorable de l'INAO à la demande de dérogation nous en informent ! Nous vous aiderons à engager dans les plus brefs délais un recours devant le tribunal administratif.
L'ambition de notre réseau est de ne perdre aucun éleveur bio à cause de l'attache et d'encourager la remise en question de nos pratiques d'élevage dans le souci d'un mieux-être pour nos animaux.
Jacques Caumont nous a quittés le 8 septembre, emporté par la maladie du siècle contre laquelle il se battait courageusement depuis plusieurs années déjà.
Jacques s'était installé en agriculture biologique après une carrière dans l'aviation. Une trajectoire osée, atypique et admirable réussie par ce passionné qui tenait à montrer qu'il était possible d'innover et vivre sur une petite ferme dans le Morvan. Il élevait des Cervidés (il a d'ailleurs participé activement à la rédaction du cahier des charges), des Ovins, cultivait quelques hectares de céréales pour les nourrir et avait des chambres d'hôtes. Il est rapidement devenu un fervent défenseur de l'agrobiologie à travers laquelle il voyait un vrai progrès pour l'avenir. Il a tenu son engagement aux côtés du Conseil d'Administration du GABNi pendant 8 ans dont 5 ans comme secrétaire. Il cessa son activité en 2010 mais n'arrêtera pas de cultiver un grand potager jusqu'à ses derniers jours. Ceux qui l'ont croisé ou qui ont eu la chance de travailler avec lui garde le souvenir de ses nombreuses qualités dont il a fait profiter activement nos structures bio. De la part de tes collègues et amis du monde de la bio, un grand merci à toi Jacques pour ton engagement.
Toutes nos condoléances à sa femme Edith et à sa famille.
Depuis plusieurs mois maintenant, la Fédération Nationale de l'Agriculture Biologique (FNAB), qui regroupe près de 10 000 agriculteurs bio, alerte l'Etat et les régions sur leurs maquettes budgétaires prévisionnels pour la mise en place des dispositifs d'aides à la conversion et au maintien en agriculture biologique dans le cadre de la Politique Agricole Commune de 2015 à 2020. Aujourd'hui, la Commission européenne demande clairement à l'Etat français et aux Régions, autorités de gestion, de revoir leur copie pour répondre aux objectifs de doublement des surfaces bio d'ici 2020. Téléchargez le communiqué de la FNAB dans sa version complète.
La pétition « Pour que l'aide au maintien soit ouverte sans restriction à tous les paysans bio de France » portée par l'AMAP « La Riche en Bio » (d'Indre-et-Loire) est en passe d'atteindre le seuil stratégique des 50 000 signatures !
Cette pétition qui défend le principe d'une aide au maintien significative pour tous et dans toutes les régions de France présente une argumentation particulièrement pertinente, en prise directe avec les réalités de production, de structuration de filières et de marchés.
Pour rappel, la pétition est adressée au Ministre de l'agriculture est aux régions, autorités de gestion de la nouvelle programmation FEADER. C'est effectivement à ce niveau que les choses se joueront dans les prochaines semaines. Et ça marche ! la pétition fait son chemin, fédère des consommateurs, interpelle nos élus……
Les producteurs peuvent aussi contribuer à cette initiative de consommateurs en signant et diffusant le plus largement cette pétition pour atteindre et dépasser les 50 000 signatures.
Alors, n'hésitez pas, signez et diffusez largement!
Voici le lien : https://www.change.org/p/pour-que-l-aide-au-maintien-soit-ouverte-sans-restriction-%C3%A0-tous-les-paysans-bio-de-france
Vous vous demandez ce qu'est un lieu test à l'installation agricole ? Comment peut-on en intégrer un ? A qui cela s'adresse t-il ?
Vous souhaitez découvrir le lieu test à l'installation en maraîchage bio de Mézilles (89) ? Découvrir son fonctionnement et participer à son développement ?
Pour cela, rendez-vous sur nos nouvelles pages internet :
LA BOURSE D'ÉCHANGE DE LÉGUMES BIO DE BOURGOGNE a pour but de :
* Le tableau est mis à jour régulièrement avec les nouvelles annonces.
* Pour ajouter ou retirer une annonce vous devez contacter directement votre technicien.
Vous trouverez ci-dessous le règlement qui reporte au 31 décembre 2017 :
- la dérogation permettant d'utiliser jusqu'à 5% de protéagineux conventionnels dans la ration des monogastriques (aux mêmes conditions qu'aujourd'hui : liste limitée de matières à consulter dans le guide de lecture)
- la dérogation permettant d'utiliser des poulettes de 18 semaines conventionnelles mais nourries et traitées en bio (mêmes conditions qu'aujourd'hui).
Pour votre information, un lieu d'échange entre producteurs et consommateurs va bientôt ouvrir ses portes à Dijon, le 27 septembre.
Il accueillera l'association Centre-Halles dont la mission est de promouvoir les produits régionaux issus de modes de production agricole durables et la relation directe entre producteurs et consommateurs. L'agriculture bio aura biensûr une place privilégiée au sein de ce projet.
Sur place, au 19 rue de Chenôve, le Centre accueillera une boutique de produits locaux, un restaurant et organisera des marchés ou des conférences autour de l'agriculture. Les initiateurs de ce projet veulent faire de ce centre un lieu où les producteurs régionaux pourront venir faire découvrir leur façon de travailler et leurs produits.
Pour découvrir les différentes activités du Centre : www.grainesdestart.fr/projects/Le-Centre
Vous trouverez ci-dessous un lien vers une enquête de l'ITAB, réalisée auprès des agriculteurs, dans l'optique de créer un guide des matières fertilisantes utilisables en bio en France. Le but de cette étude est de connaitre le besoin des agriculteurs pour un tel catalogue, et avoir leur avis sur le fond et la forme de ce catalogue. Le questionnaire est rapide : 10min maximum.
https://docs.google.com/forms/d/1MRBaCKoepYX38sq5Rf0F78JPu24JXOeWOqeJCN-v5go/viewform
En 2014 débute une nouvelle phase de révision qui devrait aboutir à un nouveau règlement bio dans les deux années à venir (application prévue au 1er juillet 2017). Plusieurs points sont entièrement nouveaux et nécessitent une véritable consultation du réseau FNAB.
Deux sujets ont été sélectionnés pour une première consultation : les contrôles et la certification, ainsi que l'introduction de seuils pesticides. Cette consultation s'adressait au CA de chaque GRAB de France. En Bourgogne, la CGAB a préféré ouvrir cette consultation à l'ensemble de ses adhérents, afin de proposer une synthèse globale à la FNAB.
Vous trouverez ci-dessous la synthèse des résultats de cette consultation en Bourgogne. Au total, 55 producteurs bourguignons se sont exprimés à travers cette consultation.
Vos compétences et la pratique acquise dans votre métier de responsable d'exploitation agricole, peuvent vous permettre d'assurer cette fonction de Maître Exploitant et ainsi contribuer au renouvellement des générations agricoles et à la professionnalisation de la profession.
Pour en savoir plus : Consultez la note Devenir Maitre Exploitant
Pour plus de renseignements, contacter le point info installation de votre département :
Nous tenons à remercier tous les adhérents qui ont renouvelé leur soutien au réseau bio pour l'année 2014.
* ATTENTION, Nouveauté 2014 pour les Cotisants solidaires * : Les administrateurs des GAB de Bourgogne ont souhaité faciliter l'adhésion pour les cotisants solidaires à la MSA. Une cotisation spécifique à 65€ est donc rajoutée pour les cotisants solidaires, sur présentation de justificatif. Pour ceux qui auraient déjà réglé leur cotisation 2014, n'hésitez pas à prendre contact avec votre animateur de GAB.
Pour les autres, il est encore temps d'adhérer à votre groupement !
Vous trouverez en pièce jointe,vos bulletins d'adhésion au GAB21, au GABNi, au GABY et au GABSEL. Nous vous rappelons que celle-ci sera valide du 1er avril 2014 au 31 mars 2015.
Adhérer à votre GAB, vous permet :
- d'accéder aux services du SEDARB spécifiques à votre filière, gratuitement ou à des tarifs préférentiels, et de trouver réponses à vos questions techniques,
- d'être informé, représenté et défendu auprès de responsables locaux, régionaux, français et européens.
- de soutenir une dynamique collective pour défendre, promouvoir et développer l'agriculture biologique
Cette adhésion renforce localement le poids de votre groupement et réaffirme au niveau national et européen la force des acteurs de l'agriculture biologique.
Cette année, plus que jamais, les réseaux bio ont besoin de votre soutien pour peser dans les négociations, faire valoir les intérêts des agrobiologistes, continuer le combat pour sauver les aides bio et permettre le développement de l'agriculture biologique en Bourgogne.
Suite à la réunion qui s'est tenue Mercredi 18 Juin au Conseil Régional de Bourgogne dans le cadre du plan ambition bio, France 3 Bourgogne a diffusé un reportage avec interview de Xavier NIAUX, président de la CGAB puis Jacques REBILLARD, du Conseil Régional de Bourgogne.
Lien du reportage de France 3 :
Et dans le JT 19/20 de France3 Bourgogne : http://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne/emissions/jt-1920-bourgogne
Alors que l'agriculture biologique apparaît dans les discours et les études scientifiques comme une alternative incontournable aux méthodes conventionnelles pour les générations futures, pour préserver la qualité de l'eau, la biodiversité et la santé, les conditions ne semblent pas réunies pour permettre d'atteindre l'objectif de doublement des surfaces en agriculture biologique défini par le plan Ambition Bio 2017.
Ce sont aujourd'hui de multiples acteurs de la société civile qui partagent les inquiétudes des agrobiologistes et de leurs structures et se mobilisent à leurs côtés pour lancer un cri d'alerte.
La nouvelle version du guide des produits de protection des cultures utilisables en AB en France a été validée par le CNAB du 3 juin 2014.
Il est disponible sur le site de l'ITAB : http://www.itab.asso.fr/downloads/com-intrants/guide-protection-plantes5.pdf
Pour la 2ème année, la Région Bourgogne lance un appel à projets qui vise à soutenir des initiatives pour améliorer l'organisation de la production, la transformation et la distribution des produits en circuit de proximité, développer de nouvelles formes de mise en marché en s'appuyant sur une organisation collective entre producteurs, transformateurs, distributeurs, consommateurs et autres acteurs publics et privés.
Date limite de réponse : 30 juillet 2014
La ferme de la Bilouterie, située à Dollot (89), en bio depuis plus de 10 ans, produit des céréales et des volailles, qu'elle abat et découpe à la ferme pour une commercialisation en circuits courts. Afin de poursuivre son activité, elle doit construire un nouvel atelier d'abattage pour lequel elle a obtenu une subvention de la Région Bourgogne en 2012. Suite à trois refus successifs du permis de construire, la ferme risquait de perdre la subvention accordée (attribuée pour deux ans) et de cesser son activité d'élevage qui emploie trois salariés.
Grâce à la mobilisation du réseau bio et de nombreux acteurs locaux...
Le dossier de demande d'aide à l'investissement du Plan Végétal pour l'Environnement vient de paraître.
Vous pouvez vous le procurer auprès de vos animateurs de GAB ou de votre DDT.
Pour exemple, le type de matériel concerné : outils de désherbage mécanique, outils d'aides à la décision (guidage GPS), semoirs spécifiques pour l'implantation des CIPAN...
Attention, les demandes doivent être déposées en DDT avant le 15 mai 2014. Une seconde session d'instruction aura lieu le 12 septembre sous réserve des disponibilités financières des différents financeurs.
En effet, les enveloppes semblent insuffisantes dans certaines régions afin d'assurer une aide au maintien de la bio partout et pour tous (seule façon de ne pas favoriser une distorsion de concurrence entre agriculteurs bio).
Le réseau FNAB réaffirme donc sa volonté auprès des Conseils Régionaux afin qu'ils inscrivent l'aide au maintien de la bio pour tous les producteurs bio, sans limitation de durée.
Actuellement, la mixité de production bio/non bio est interdite sur les mêmes variétés ou des variétés qui ne sont pas facilement distinguables. Il a été indiqué que les variétés de cultures annuelles doivent être distinguables aux champs (contrôle visuel) et post-récolte.
Après débat, le comité n'a pas statué sur la pertinence des propositions qui lui ont été faites pour répondre au critère « facilement distinguable » : il a chargé la commission « réglementation » de poursuivre son instruction en sollicitant de nouvelles expertises, telles que celles du Groupe d'Etude et de contrôle des Variétés Et des Semences (GEVES), pour éclairer ses travaux.
Source FNAB – Juliette LEROUX
La mise à jour du guide des produits de protection des cultures utilisables en bio en France, validée par le CNAB du 13 mars 2014, est accessible sur le site de l'INAO sur le lien suivant :
Guides AB de l'INAO
Source INAO – Mélanie VANPRAET
Le Printemps Bio approche : du 1er au 15 juin prochains de nombreux événements sur l'AB seront organisés partout en France.
Si vous organisez une porte ouverte, une balade, un repas bio, une conférence... vous pouvez communiquer sur le site Internet du Printemps Bio 2014 et nous relaieront vos événements dans les réseaux locaux.
Organiser un événement lors du Printemps Bio
Vous voulez qu'on se charge d'inscrire votre événement sur le site Internet du Printemps Bio ? Contactez votre animateur de GAB !
La prévention est renforcée sur les territoires à forts risques et la procédure d'indemnisation des dégâts évolue :
► Modification de seuils ouvrant droits à indemnisation.
► Diminution de l'abattement légal à 2 % (au lieu de 5 %) pour tous les dossiers
► Possibilité d'obtenir une indemnisation pour la remise en état des interbandes des vergers et des vignes et la remise en place des filets de protection des récoltes.
► Eventualité d'une responsabilité financière du déclarant (dommages inférieurs aux seuils).
► Possibilité de répercuter tout ou partie des frais d'expertise au déclarant (dommages n'atteignant pas les seuils ou fortement surestimés dans la déclaration)
Les annexes I (engrais et amendements) et II (pesticides) du règlement CE n°889/2008 viennent d'être modifiées par un texte publié le 8 avril.
Du côté des engrais, on note surtout :
- l'ajout des protéines hydrolysées et de la léonardite dans les intrants autorisés
- une clarification de fond sur les digestats de méthanisation.
Concernant les produits phytosanitaires, on peut noter l'introduction de la laminarine (issue d'algues), du kaolin, et des répulsifs par odeur d'origine animale ou végétale tels que la graisse de mouton.
Vous êtes agriculteur, répondez à l'enquête ici.
Vous êtes technicien, conseiller, formateur, ou encore chercheur, répondez à l'enquête ici.
Vous pouvez télécharger ici le formulaire de demande du crédit d'impôt bio sur les revenus 2013.
N'hésitez pas à contacter votre animateur(trice) de GAB pour toute question.
Lors du dernier Conseil d'Administration du GABY le 17 mars dernier, le nouveau bureau a été élu :
Président : Francis HOUCHOT
Vice-Président : Florian GOBIER
Secrétaire : Isabelle GEORGELIN
Trésorière : Marianne FOUCHET
Trésorier adjoint : Aurélien ROLIN
Pour plus d'informations sur le GABY et son Conseil d'Administration, vous pouvez aller visiter la page Internet du GABY.
Le lieu test à l'installation en maraîchage bio de Mézilles (89), inauguré le 13 juin 2013, a pour vocation de permettre à des porteurs de projet de se tester en "grandeur réelle" pendant 1 à 3 ans.
Ils sont accompagnés (GABY, tuteur professionnel, couveuse d'entreprises...) afin d'affiner leur projet, de se professionnaliser et de développer leur réseau.
Le lieu test de Mézilles accueille déjà un premier porteur de projet mais n'est que partiellement équipé, n'offrant pas toutes les conditions requises pour un test dans de bonnes conditions.
Le GABY lance donc une contribution afin de finaliser l'équipement du site en trouvant les financements manquants.
Veuillez trouver ci-joint l'appel à contribution ainsi que le bulletin de souscription.
Comptant sur votre soutien !
N'hésitez pas à contacter l'animatrice du GABY pour toute précision.
La FNAB est intervenue officiellement auprès de l'Association des régions de France. Voici un extrait du courrier envoyé à René Souchon, président de la Commission agriculture de l'ARF :
"Les acteurs professionnels (réseau des Chambres, FNAB, Coop de France, etc.) ont unanimement rappelé [lors du copil Plan bio du 6 février] que l'aide au maintien en agriculture biologique (MAB) doit être disponible pour tous et partout dans la prochaine programmation. Dans le contexte actuel d'une stagnation du rythme des conversions et des montants consommés nationalement sur la CAB et la MAB, les nouveaux engagements de l'État (160 millions par an, en moyenne, lissés sur 5 ans) doivent permettre d'éviter tout critère de priorisation par les régions. Il s'agit là d'un sujet vital pour la filière bio amont et aval, déjà des OPA envisagent l'accompagnement vers d'autres MAE, déjà des producteurs parlent de déconversion, les coopératives bio ou mixtes s'inquiétant d'une déstabilisation des approvisionnements. Il serait impensable que ce nouvel acte de la décentralisation se concrétise par un recul objectif du soutien au développement de l'agriculture biologique dans notre pays."
Le ministère de l'agriculture finalise sa négociation budgétaire avec les régions sur le Feader 2015. De cette négociation théoriquement achevée mi-mars devrait être clarifiées les conditions d'accès à l'aide au maintien partout et pour tous.
La FNAB
Un document de travail non officiel a fuité il y a quelques semaines, laissant entrevoir les orientations impulsées par la Commission Européenne concernant le futur règlement bio.
Il s'agirait d'un texte « unique », les principes se trouvant dans les articles et les règles détaillées en annexe (au lieu d'un règlement cadre et un règlement d'application), mais avec des renvois à de futurs actes délégués. Ce qui veut dire que le texte serait complété ultérieurement par des règles édictées directement par la Commission européenne.
Le projet est strict, avec la suppression de la quasi totalité des dérogations et l'apparition d'un principe de seuil de déclassement sur les pesticides. Il prévoirait également des changements de fond sur les contrôles. La certification de groupe ferait ainsi son apparition, sans que l'on sache vraiment comment elle serait mise en place.
Depuis août 2013 et l'annulation de l'arrêté d'interdiction du maïs Mon 810 par le Conseil d'Etat, rien n'empêche la culture de cet OGM sur le territoire français.
Alors que les dates de semis approchent rapidement, le gouvernement a opté pour deux voies distinctes : l'édiction d'un nouvel arrêté d'interdiction de la culture de maïs Mon 810, mais aussi le vote d'une Loi interdisant de manière plus générale la culture de maïs OGM. En effet, un nouveau maïs génétiquement modifié pourrait très bientôt être autorisé à la culture en Europe : le TC1507.
Stéphane Le Foll, ministre de l'Agriculture, de l'Agroalimentaire et de la Forêt a remis les prix aux sept lauréats du concours général agricole des prairies fleuries, lors de la cérémonie qui s'est tenue le lundi 24 février 2014 au Salon International de l'Agriculture.
Nathalie et Xavier Niaux ont été récompensés par le prix du meilleur équilibre agri-écologique, catégorie 5 : Fauche et pâture (zone de montagne).
Ce prix d'excellence agri-écologique remis aux éleveurs lauréats met en valeur leur travail mais aussi les services rendus par leurs prairies fleuries à la qualité des fourrages (qui se répercute sur la qualité des produits : lait, viande, miel…) à l'apiculture et au maintien de la biodiversité.
Le rendez-vous pour l'édition 2014 a d'ores et déjà été lancé à l'issue de la cérémonie (50 territoires organisateurs locaux – plus de 300 agriculteurs candidats).
Lors de l'Assemblée Générale du GABY qui s'est déroulée le 24 février dernier à Joigny, les administrateurs ont appelé à la mobilisation de tous les bio du département afin que le GABY soit plus fort et puisse défendre au mieux les intérêts de tous les agrobiologistes icaunais. Pour rappel, voici les grandes victoires du réseau bio en 2013.
Vous trouverez ici le discours moral du vice-président du GABY, Francis Houchot.
N'hésitez pas à diffuser ces documents autour de vous.
L'ASSIETTE DE L'YONNE, ELLE EST TROP BONNE ! C'est le slogan retenu pour accompagner l'action conduite depuis 2012 par le Conseil Général de l'Yonne en vue de développer l'approvisionnement des services de restauration des collèges en produits locaux.
La dérogation permettant de continuer à semer des variétés bio et conventionnelles non facilement distinguables après récolte (exemple du blé barbu et non barbu) sur une même ferme a été prolongée jusqu'au 1er juillet 2014.
La loi sur la contrefaçon, votée en novembre dernier, prévoyait de renforcer les contrôles et d'utiliser des mesures de répression telles que la saisie et la destruction de récoltes, lorsque les semences utilisées sont produites sur l'exploitation.
Les sénateurs avaient alors refusé d'exclure les semences dans cette loi de contrefaçon.
En janvier, suite à un coup de force des militants, les décideurs ont enfin fait marche arrière !
Cette manifestation aura lieu le mercredi 26 mars 2014, entre 12h et 18h30, sur l'esplanade Erasme du campus dijonnais.
Il s'agit d'un concours international pour élire les meilleurs vin bio et en conversion. Plus d'info sur : http://www.concoursamphore.fr/reglement-du-concours/
Les inscriptions auront lieu de fin mars à fin avril 2014 (50€/échantillon proposé le 4ème gratuit).
Cette édition vise à témoigner de la vie de la bio dans les régions à travers ses acteurs, ses métiers, ses techniques et la diversité de ses produits. Le concours est ouvert à toutes les personnes intéressées par l'agriculture biologique.
Parmi l'ensemble des candidatures, une présélection de 15 oeuvres sera effectuée par un jury de professionnels. Ces compositions seront ensuite exposées dans le cadre du Printemps BIO 2014, durant la première quinzaine de juin.
Si vous souhaitez participer au concours, vous avez jusqu'au 18 avril 2014.
Règlement et formulaire d'inscription sur le site de l'Agence BIO.
La lettre d'information sur les filières grandes cultures bio qui fait le point sur les premières estimations de la campagne 2013/14, est sortie. Elle fait également le point sur l'évolution des espèces hors dérogation pour les semences de grandes cultures et sur les dernières actualités réglementaires du secteur.
A lire ici.
Le soutien à l'investissement en Agriculture Biologique est à nouveau ouvert pour 2014.
Deux appels à candidature sont prévus : les 1er mars et 1er juillet.
Vous pouvez télécharger le formulaire de demande et la note technico-économique à compléter avec un conseiller technique du SEDARB.
Cette aide concerne les investissements matériels spécifiques au mode de production biologique pour les producteurs en cours de conversion ou déjà certifiés.
La Commission européenne a annoncé en début d'année 2013 qu'une phase de révision de la réglementation bio débuterait en 2014. Il s'agira de revoir entièrement les règlements actuels non seulement sur la forme mais aussi sur le fond.
Les Commissaires prévoient de présenter en mars prochain un projet de nouveau texte pour discussion et ils souhaitent une adoption pour fin 2014/début 2015.
L'année ou les années à venir seront donc décisives si nous voulons obtenir un règlement qui soit à la fois proche des principes de l'agriculture biologique et applicable.
Les enjeux seront majeurs pour la pratique de notre métier, la crédibilité de la bio et pour le maintien de ses fondamentaux.
Si nous voulons que les producteurs bio du réseau FNAB restent impliqués dans la rédaction des règles de production bio, ils doivent être partie prenante de la négociation à venir !
Si vous souhaitez vous investir et être l'un des référents bourguignons sur ce sujet, merci d'en faire part à l'animateur de votre GAB.
Le plafond des aides de minimis (aides non notifiées à l'Union Européenne par les Etats) va doubler dès l'exercice fiscal 2014.
Il passera de 7 500 € sur trois exercices fiscaux (l'exercice fiscal en cours et les deux précédents) à 15 000 €.
Cela pourra faciliter le cumul des aides concernées : crédit d'impôt bio, aides à la certification, aides conjoncturelles en cas de crise économique d'un secteur, etc...
Contact : Olivier Bouilloux, 03 86 72 92 20 ou olivier.bouilloux@sedarb.org.
Retrouvez les chiffres de la bio en Bourgogne au 31 décembre 2012 dans l'Observatoire Régional de l'Agriculture Biologique en Bourgogne.
Pour information, les aides PAC 2013 ont subi deux prélèvements :
- 3,21 % sur les DPU uniquement (coefficient stabilisateur).
- 2,45 % sur toutes les aides PAC directes (dont les Soutiens à l'AB conversion et maintien). Ce mécanisme est appliqué pour la première fois sur les aides de 2013, au-delà d'une franchise sur les 2 000 premiers euros. Ce prélèvement est dû pour moitié à un budget restreint, et pour l'autre moitié au financement d'une réserve de 424,5 millions d'euros pour aider les agriculteurs qui connaîtraient une crise agricole en 2014.
Suite aux RDV nationaux sur la PAC de ces dernières semaines, voici les derniers éléments de cadrage obtenus pour les 1er et 2ème piliers de la PAC.
Les Comités de bassin (CB) seront renouvelés en juillet prochain pour la période 2014-2020. La Commission nationale Eau FNAB recherche donc des producteurs/trices qui seraient (re)partant(e)s pour siéger au sein des CB.
Calendrier, modalités et appel à candidatures à télécharger ici.
La FNAB, le GAB 44, l'ADABio, Bio de Provence et la FRAB Bretagne sont partenaires du projet CASDAR « références en circuit court » piloté par le CERD Bourgogne, TRAME et l'Institut de l'élevage.
Ce projet de 3 ans touche aujourd'hui à sa fin et vous pouvez télécharger ici le guide pratique qui en résulte.
Les organisations syndicales et de développement bio bourguignonnes (GAB's, CGAB, et SEDARB) s'accordent sur la nécessité d'un accroissement rapide et significatif des surfaces conduites en agriculture biologique en Bourgogne ; elles souscrivent à l'objectif d'un doublement de ces surfaces à l'horizon 2017 ainsi qu'annoncé dans le programme « Ambition Bio 2017 » du gouvernement. Elles s'inquiètent du ralentissement de la dynamique de conversion et des faiblesses dans la structuration des filières bio relevées dans le document introductif au PDRR Bourgogne. C'est pourquoi elles estiment que la Région doit faire du développement de l'agriculture biologique un axe majeur de sa politique agricole, qu'elle doit initier et soutenir un véritable plan stratégique de développement à la hauteur des enjeux en mobilisant tous les acteurs susceptibles d'en assurer le succès.
Pour leur part, les organisations spécifiquement dédiées à l'agriculture biologique sont convaincues que la mise en œuvre de ce plan stratégique appelle prioritairement les choix suivants.
La première Rencontre des Bio de l'Yonne s'est déroulée le 20 novembre dernier à Venoy.
L'objectif de cette journée était de faire se rencontrer agriculteurs bio et porteurs de projet dans une ambiance conviviale.